la limerence
En macrosystème, moi, les hommes, je les déteste (pour citer le très bon livre de Pauline Harmange). Pour mon plus grand malheur cependant, en microsystème, je les aime, souvent très (trop?) fort. Et là d’un coup, juste comme ça, on nage en pleine limerence. Alors rapprochons nous : mon soleil en balance me susurre que s’allier c’est aussi prendre le temps de s’écouter les un.es les autres, de s’entre-aider.
Alors, si tu n’es pas concerné.e, respire, ne prend pas peur. Je ne vais pas casser l’ambiance en soirée. En clair : tout va bien se passer.