Le Baron fête ses 10 Ans !

LE SITE DU BARON

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Le Teaser

Ce jeudi 9 avril, le Baron fêtait ses 10 ans en grande pompe. Une soirée dingue comme on n’en fait plus… Sauf au Baron évidemment !

Le changement. Voici le thème de la soirée du dixième anniversaire du Baron qui se tenait jeudi 9 avril au soir. Ce changement, il s’opère dès l’entrée du club : Bak nous fait rentrer non pas via l’habituelle porte du 6 avenue Marceau, mais par celle d’à côté (la même qui mène aux toilettes du lieu). “On se croirait dans 2001 l’Odyssée de l’Espace”, remarque assez justement notre acolyte en traversant le long couloir recouvert de couverture de survie (véridique !). C’est dans ce tunnel spatial qu’on croise une bande de monarques (des soldats spatio-temporels ?) du futur habillés comme ils auraient pû l’être à la dernière soirée des Ambassadeurs, Odyssey 5069 : “Nous sommes la secte”. Laquelle ? “On ne sait pas trop…” On opte pour celle de l’Ordre du Temple solaire vu le soleil dessiné sous leurs yeux. Parmi, eux, un certain Walid : “Je ne suis pas n’importe quel homme. Regardez mes lunettes rondes (cassées aussi, au passage). Je suis John Lennon du futur !” (la preuve photo 9)

Teki Latex, Para One, Breakbot, Irfane et co en guest

Dans la salle, autre ambiance : roses accrochées au mur, napperons dorés sur les tables et oiseaux empaillés : on se croirait maintenant à une fête des morts au Mexique ! Il est minuit à peine et il n’y a pas encore de musique. Lionel Bensemoun et sa team (La Clique) terminent l’enregistrement d’une émission pour RadioMarais. C’est Nicolas Ullmann et Mattias Mimoun au piano qui lancent les hostilités. Bien grand mot vu qu’à même pas 1h du matin, le club est déjà plein à craquer et les gens gonflés à bloc. Alex Pan reprend rapidement les platines (déplacées pour l’occasion dans un autre coin du dancefloor) aux côtés de Clara 3000. Elle sera l’un des “guests” promis ce soir. Les autres ? Teki Latex, Para One, Breakbot, Irfane… et une bonne partie des DJs de Tête d’Affiche dont Polocorp :

Je joue à 5h mais je viens à 1h, normal !

Comme quoi on ne change pas Polo…

Quel coup de vieux ?

3h. Mourir. De chaud. “Je cherche ma copine”, lâche une fille en balayant la foule du regard. Sa complainte fait rire un brun à côté d’elle : “Tu peux lui dire adieu”. Greg Boust et Marco Dos Santos repassent “Dans le club” de TTC (Para One et Teki l’ont déjà mise juste avant eux) et prennent le micro pour gentiment nous insulter (pour plaisanter. Enfin on croit). Juste derrière eux, Patricia Badin danse sur une banquette dans une combinaison intégrale à imprimé léopard. Elle dansera comme ça une bonne partie de la nuit. Dehors, les fumeurs se laissent aller à la nostalgie comme on dit :

Et dire que ça fait dix ans qu’on sort au Baron. Ça ne nous rajeunit pas vraiment…

Un coup de vieux ? Quel coup de vieux ? Certes le Baron a 10 ans ce soir, mais on a, une fois encore, vu qu’on avait à peine plus.

Le plus de la soirée : Une ambiance identique à celle d’il y a dix ans. On ne change pas une équipe qui gagne…

Le moins : On se croirait aussi au Mexique niveau température ambiante.

La rencontre de la soirée : La Clique et tous les habitués du club au grand complet.

Le cocktail de la soirée : Le Baron, évidemment !

La phrase de la soirée : Être en combinaison intégrale de squelette et prendre des photos, c’est se voir dire : “Vas-y la mort, prends nous !”

L’autre phrase de la soirée : Un garçon sur le départ : “Je suis Baron comme une queue de pelle.”

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LES MOMENTS DÉCOUPÉS

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LA TRANSCRIPTION AUTOMATIQUE BY TRANSCRIPTIVE:

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Le Baron a dix ans. Joyeux anniversaire le Baron ! Ha ha ha ! 160 mètres carrés, ouvert sept nuits sur sept excepté le jour du Kippour. Pour tous ceux qui sont venus ici ont forcément une histoire à raconter. Et d’ailleurs, ce soir, nous avons invité les gens, les copains, ceux qui ont participé donc à la vie de cet endroit. Ça fait déjà dix ans, nous aurons de l’art, nous aurons de la musique.

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Nous aurons aussi de la mode et aussi les gens qui ont travaillé ici et pour présenter ça. Il fallait deux molosses, deux personnes en parfaite santé et tailler en force. Bonsoir. Tu as entièrement raison Xavier Darcos Dos Santos. J’ai personnellement dix ans de rugby derrière moi, cinq grandes école hôtelière. J’ai conduit tous les Boeing de la Lufthansa pendant des années et aujourd’hui j’ai envie qu’on célèbre cet endroit dignement, avec notre force d’âme.

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Ah oui, parce qu’il fallait bien ça pour réunir tous ces gens qui ont participé à cette aventure. Rien de tel qu’une mise en musique. Je ne sais pas si le terme est exact avec notre ami Matthias Mimoun. Bonsoir Matthias François, bonsoir. Hasard du huitième arrondissement, je te présente également à la caméra Damien Damien, que l’on surnomme le Steven Spielberg du Baron ou alors L’étalon des Antilles, est une équipe technique.

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Ma foi, assez conséquente. Voilà un matériel de dernier cri, mais personne n’est payé. Oui, c’est le problème. Mais les compétences et les compétences sont ce qui compte. Et dans un moment, on va s’asseoir. Oui, je lui a tourné en rond comme des petites merdes. D’ailleurs, il y a des gens qui nous attendent depuis un petit moment. Ils sont là.

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Une coupe à la main pour notre ami Théodore. Voilà, on peut, s’il vous plaît, donc applaudir le début de cette émission. Voilà un peu plus, un peu plus train Sachez quand même. Considérez vous comme des privilégiés ce soir d’être ici ? Est ce qu’il y a eu énormément de demandes pour venir assister dans le public et ses émissions ? Et on a été obligé de conduire la plupart des gens.

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Je ne suis pas sûr que quelqu’un vous demande pardon. Santos, c’est un homme timide ? Oui, c’est un homme réservé et présentable. Est ce qu’il y a des gens parmi vous qui sont déjà venus à cette heure aussi aussitôt au Baron ? Est ce que quelqu’un a le souvenir d’être venu à 9 h du soir ici ? C’est la raison pour laquelle je vous estime assez privilégié.

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Moi, je suis venu pour constater le décès d’un fêtard de la veille qui était là effectivement, c’était un peu tôt, mais c’était une circonstance très particulière, présente nous un peu tous ses invités. Alors impatient de les rencontrer ? Ils m’ont l’air complètement excitant. Oui, ils ont l’air excitant et surtout très dans l’énergie. Mais tout ça, on va le récupérer.

00:02:55:10 – 00:03:13:13

L’appétit vient en mangeant. On commence par l’art et voilà. Et on va dire que pour représenter l’équipe de ce soir, on peut dire aux équipes même s’il n’y a pas de combat, même s’il n’y a pas de sport, on fait un peu de sport. Oui, on peut applaudir Michael voir s’il vous plaît. Il est avec nous, voilà tout.

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En présentons plutôt nos deux invités par le grand bal à Marc-Olivier Marc. Bonsoir Marc-Olivier Aaron. On va faire le tour, donc on a salué le baudruches qui est avec nous. Bonsoir, je ne connais pas votre nom, mais vous allez me le dire. Marten Désolé. Théodore, fidèle à lui, je le connais en long, en large, en travers et en oblique.

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J’ai invité à tirer sur le pianiste tellement il joue jamais Alors oui, oui, voilà la première fois, c’est bien, c’est court, mais c’est bien alors. Donc ce soir, nous avons donc plusieurs thèmes. Ce soir, nous avons l’art, l’art par rapport au baron Mika, est ce que tu peux nous en parler ? Est il un lien entre le baron et l’art ou entre l’art et le Baron ?

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En tout cas, pour ses invités, il y a un lien parce que j’ai choisi ces invités, parce qu’ils avaient fait quelque chose de particulier. C’est qu’ils ont tous une double vie. En fait, une vie de jour qui est liée à l’art et une vie de nuit je me demandais ce qu’ils avaient déjà. Alors là, tu me révèle qu’ils en ont deux, qui est aussi liée à l’art, mais qui est très lié à l’idée de sortir à la fête, aux mondanités, Et Marc-Olivier, qui est qui a été pendant très longtemps le voisin du baron, alors directeur du Palais de Tokyo ?

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Et certainement plein de choses à lui raconter sur les nuits du baron ou il finissait ses soirées après avoir fait toute sa longue journée parce que le Palais de Tokyo finissait à 0 h démarrait à 12 h, finissait à 0 h. Et ici, c’était un peu. Je rappelle que le Palais de Tokyo, c’est de l’argent public quand même, donc c’est quand même délicat.

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Donc, après avoir dépensé l’argent public tu venais le dépenser également ici au Baron. C’est ça qui n’est pas arrivé de manière polémique ? Non, je pense que c’est pas l’endroit. Mais bon, raconte que du Palais de Tokyo à jusqu’ici, ça descend. Ah oui, c’était très pratique. Par contre pour moi, c’est bien l’époque ou tu fait beaucoup plus de l’eau et tu roulais carrément du palais de Tokyo jusqu’ici.

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Absolument. Et donc, qu’est ce qui a amené ici mon enfant ? Je voyais de la lumière, je m’arrête. Alors oui, mais si tu crois qu’on va faire une soirée avec des réponses comme ça, on va dire, je te fous dehors à volonté, je peux te dire que Bak va arriver. Et les gens qui ne répondent pas bien aux questions, il a vraiment décidé de les virer.

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Donc non, mais il a essayé de fouiller à l’intérieur de toi. Pose pas de questions. Qu’est ce qui a attiré au Baron ? Ne va pas me dire la lumière, c’était complètement obscur comme endroit. C’était peut être ça qui était le type de lumière d’un même nom, mais une sorte de lumière, on va dire la lumière qui apaise. Dès qu’on arrive ici, on se sent bien.

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Non, mais il y a quelque chose de particulier. C’est l’histoire du baron et l’histoire du Palais de Tokyo sont complètement jointes. C’est à dire que le jour ou André, c’est vraiment indissociable. S’ils sont venus visiter cet endroit, c’était cinq minutes avant. Il était au Palais de Tokyo avec moi dans la boutique Black Blocs. Tu t’en souviens ? Évidemment, c’est André qui avait cette boutique.

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Et André ? Lionel avait repéré cet endroit qui était poussiéreux comme ça, ou il restait plus rien des vestiges. Il reste encore le tout en camion là bas. Et puis quelques quelques éléments de décor et ils se sont dit mais mais c’est génial, on pourrait essayer de faire quelque chose, une histoire comme ça, qui serait pour les copains de l’art.

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En tout cas, moi, je me souviens de ça. Alors il nous manque un invité ce soir, auquel on vient de rendre hommage. Jérôme Sens qui n’est pas là mais qui était. Qu’est ce qui lui a coûté ? Il est resté bloqué dans des avions à cause de la grève d’Air France. Et désolé il aurait adoré être là parce que lui, il y a beaucoup de choses à dire aussi sur ces relations entre l’art et la fête.

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D’autres à lui faire un livre ? Eh bien, on ne reviendra plus jamais ici. Mais tant pis, tant pis pour lui. Là, il a raté un grand moment et juste pour finir Marc-Olivier et est arrivé un peu en deuxième position, mais du coup été obligé de venir au Baron parce que par ses racines, par ses liens comme ça, très fort entre le Baron et le Palais de Tokyo, c’était vraiment devenu une sorte d’institution.

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Le Baron pour le Palais de Tokyo. Alors Samuel, on va passer à toi. Tu rigoles depuis tout à l’heure. Maintenant, il va falloir parler. Alors Samuel, on peut dire que tu étais là dès les premiers jours, au tout début ? Oui, c’était là pour que tu travailles avec Benjamin Moreau sur quelque chose. Vous étiez donc le binôme ? Et vous, vous êtes là même au début, tu as même fait la porte sur moi.

00:07:23:21 – 00:07:42:14

Ouais. Alors qu’est ce que tu pourrait nous dire par rapport au Monde ? Pas de nous dire comment c’était avant et maintenant. Mais est ce que est ce que tu peux nous raconter plus ou moins certaines de ses émotions ? Les première fois que vous veniez sans savoir que ça allait devenir ce que c’est devenu. Moi, c’était tu parlais de Double vie, Mika Je crois que c’était moi.

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C’était une extension de l’atelier, je pense. Le Baron. J’ai fait pas mal de projets ici, des dessins, en faisant dessiner des gens un peu sous J’ai fait aussi jouir des filles pour des vidéos des Korrigans. Ce jour là, c’était c’était pas seulement la fête. On a aussi produit des choses ici ou là. On ne parle pas trop fort, s’il vous plaît.

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Je vous rappelle que nous sommes en direct le petit groupe de la mode. Là, vous voyez un petit groupe de la meute qui est extrêmement bruyant derrière ça, c’est bruyant, c’est pas la fête sur les mains, sur les idées d’une Fashion Week à l’autre. Alors attendez il, on a invité. En plus, j’ai dû filer un micro. Oui, il y a un binôme important en face de nous.

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On voit que ça s’incruste un peu, tout en douceur. Visiblement, ils sont très contents de le revoir dans les rues de Rennes et par heureux donnez leur un micro, ils sont heureux, c’est incroyable. Leur bonheur est tellement profond qu’il se contente de rire il n’y a aucun langage articulé, il y a juste une sorte de joie qu’ils portent avec eux.

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Ils le sont un peu. On est des onomatopées. Nous essayons de remplir du vide avec des phrases depuis le début Eux, ils arrivent, ils sont tout simplement heureux. Et pourtant, quelle raison ont ils d’être heureux ? Pas grand chose. Mon mari, ils ont vécu des moments extraordinaires ensemble. Marie Je m’excuse encore de ne pas bien te connaître. Mais justement, c’est la raison pour laquelle je te pose cette question.

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Est ce que tu venais souvent ici ? Est ce que tu vis encore ? Non, mais on peut dire quelque chose de sérieux Bah moi, je suis. J’ai connu le Baron par les galeries qui faisaient leurs soirées d’après vernissage. Donc Kamel malmenant Emmanuel pour. C’est comme ça que je suis arrivé au Baron. Oui, c’est vrai qu’il y avait des soirées de Kamel Mennour pendant longtemps.

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Et qui d’autres encore ? Emmanuel Perrotin a lui même encore maintenant un ménage. Tu serais capable de me comptabiliser en deux fois ou tu es parti à la fermeture ? Alors soit sincère. Ici, on se dit que ce soir, je pense une seule fois. Ah bon ? Ou on a effectivement allumé les lumières ? J’étais encore là, mais une seule fois. Est ce qu’une boîte de nuit, ça peut être un lieu ou l’art est vraiment entendu et compris ?

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Je ne sais pas, mais c’est un lieu. On peut rencontrer des artistes comme Maurizio Cattelan que j’avais rencontré ici, par exemple, par exemple, il y a une danse avec lui, une artiste inaccessible mais qui au Baron tout porte de leur cœur, est lié leur langue et permettait de leur avoir fait faire de bien avoir accès à leurs œuvres. André n’est pas avec nous ce soir, mais on peut peut être en parler justement.

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Donc il y a force. Il a été le bridge entre tout ça. André et Lionel et André étaient, comme je disais tout à l’heure, avaient monté cette boutique au Plateau qui s’appelait Black Bloc, était déjà une sorte de lieu de rencontre. On parle bien Oui, oui. Andrée Putman, donc un lieu avec. Mais c’est aussi un lieu de rencontre entre l’art et la fête.

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André quand même est un personnage de la nuit, mais de la mode et plein d’autres choses. La là, c’est impossible de faire une émission avec un mec pareil à côté. Sauvez moi si je je me suis dit que c’était un peu sérieux et m’enfermer moi. À chaque fois que tu parles d’André Saraiva, j’imagine Andrée Putman Je suis désolé, c’est ça.

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On peut lui rendre un hommage. Il y a sûrement des similitudes. Oui, il y a bien évidemment le nez, le nez, le nez, la taille. Non, le menton, ça c’est pas gentil, je crois. Regardez par exemple avant la grande taille. La grandeur se doit de stimuler la créativité. C’est pas mal mais tu étais dans un élan. Et puis tu t’es tu d’un seul coup ?

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Le sujet a provoqué la gueule de noms de famille. Est ce qu’on s’appelle Saraiva ou Putman ? Quelle importance ? On est au Baron ces choses là sont complètement abolies, n’est ce pas ? Absolument.

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Jean-Patrick Oui, c’est ça, Jean-Patrick Wizman. Théodore Tiens, un truc à nous dire. Donc vous avez bien préparé vos questions ? Ah non, mais oui, excuse moi, mais on les a mieux préparés que tes réponses. On est tout de suite une mauvaise ambiance. Je veux bien que tu l’auras. Je veux bien qu’il reprenne sa place musicale. Attention, ça, ça veut dire ça veut dire déception.

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Avant des questions, c’est de susciter des bonnes réponses. Et dans ce cas là, vraiment ? C’est vrai qu’on a. On a échoué, on va le dire, mais on va. On va essayer de tout recommencer avant S’il y a un truc que vous deviez changer au Baron, par exemple, ça serait quoi ? Moi, je remettrai les grilles à l’entrée. Je suis très déçu quand on fait les travaux à moitié au bout de quatre ans et demi.

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Quelle grille ? Il y avait une putain de grille. Ah oui, sur le côté, dans le bar qui scandait Le Baron. Et s’il y avait vraiment une. Et à chaque fois qu’il en parle à quelqu’un, ce c’est pas grave, c’est tout. Et moi, c’est une grande tristesse. C’est pour ça que c’est. Pourquoi tu es ? J’attaque, Pépé, de monter un collectif pour qu’on vous remettre en place ?

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D’accord est un motif de grille particulière que tu aimerais voir de l’originale. Photos d’époque. Samuel Est ce qu’il y a quelque chose ici que tu aurais pu changer ? Par exemple, changer de meuf ou changer de meuf ? Ou changer peut être de l’alcool que tu avait l’habitude de boire avec ta gueule ? Le projet de transformer le Baron en parking transformé par Est ce que vous trouvez que ça dénature complètement l’esprit du lieu ou ce qui est en train de faire un parking ?

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C’est parce qu’il est arrivé. Ce que j’ai, moi, c’est quoi qu’on remonte le temps et qu’on retrouve un peu cette fraîcheur du départ. Parce qu’il y avait quelque chose assez assez sympathique. Au départ, c’était une histoire de copains. On parle du peuple. C’est un peu se tromper d’endroit on est pas loin. T’as raison, c’est un espèce de rencontrer Lionel au bal.

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On peut remonter la pendule comme ça, assez loin, mais c’est vrai que c’est un peu ça bien. Tout ça vient toujours de quelque part. L’endroit, c’est pas rempli tout seul. Espèce de melon. Il a fallu forcément qu’il se passe quelque chose d’avoir ce mélange entre le poulpe et le Palais de Tokyo. En résumé, c’est vrai qu’on avait l’impression d’être comme chez soi ou chez des amis.

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Ça, c’était vraiment bien. Et je crois que c’est l’un des seuls lieux dans Paris qui proposait ça. On se sent un peu chez soi. C’est ça un peu la fête, c’est un peu. C’est fondamental. De pouvoir se sentir chez soi puisque chez soi, on ne fait pas n’importe quoi. La plupart des gens maintenant restent chez eux. C’est ça qui est intéressant.

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Ils ont trouvé un endroit ou ils se sentent chez soi et c’est chez eux. Et il y a encore Baron Violette. Il y a eu aussi un truc qui était pas mal au bar. On sait que c’était un truc d’amateurs, oui, d’amateurs de la fête, d’amateurs des bonnes choses, de l’amitié, amateur de la matière, de la musique avec pas de professionnels.

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Il n’y avait pas de DJ professionnel. À part Greg ? Oui, bien sûr. Quel artiste pour toi représente le mieux Le Baron ? Lequel est associé le plus au Baron ? Marie Tu as le droit de répondre, mais brièvement. Pour laisser plus de place au mal. Qui veut parler dominant ? Je ne sais pas. On peut parler aussi de Samuel qui est juste à ma gauche, qui était très présent très souvent Elle ne sait plus quoi dire ?

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Non, mais il y a deux artistes qui représentent fondamentalement Baron, c’est Samuel et Benjamin. On n’a pas Benjamin ce soir, mais on a Samuel du kolkhoze qui ont passé. Je ne sais pas de dix ans d’ennui ici. Ouais, quand je pas de double vie, c’est ça. Vous mixe si vous avez fait plein de choses ici, vous avez fait autre chose que venir boire des verres et mixer, par exemple.

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Est ce que vous avez créé quelque chose ici ? Est ce que vous avez fait des soirées ici ? Est ce que vous l’avez utilisé comme atelier ? Oui, c’est ce que je te disais. Oui, j’ai pensé non. Mais on faisait des. On a fait des vidéos un peu partout. Ici, on a utilisé dans des expos et des dessins un projet de portraits arabes qui consistait à faire copier un dessin.

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Un premier dessin peint par une seconde personne et ainsi de suite. On a essentiellement fait ici ce projet dans le bureau, avec des gens restés très drôles. Un petit interlude ? Matthias Mimoun Par exemple, je peux demander de faire un film Love, regarder un film love au piano Merci Matthias. Je vous propose qu’on fasse un petit interlude musical. Ça fait partie du groupe.

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Greg Est ce que tu peux nous expliquer éventuellement ? La première chanson que tu as choisie m’a dit Viens t’asseoir. Il y a de la place donc Grégoire Proust, que vous connaissez ? Salut tout le monde à la première chanson, c’est ce que je crois. C’est le premier artiste à avoir investi les lieux. Cette chanson, la ritournelle, c’est Sébastien Tellier.

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Voilà, mais c’est un mix, c’est un peu un remix. Non, c’est pas un remix de la version originale dont c’était une histoire de discuter. Comme ça veut dire que ça me paraissait être numéro deux. On savait choisir dix titres parmi je ne sais pas combien c’était pas facile du tout. Ouais, mais ça et là, c’est vrai que là, il est symbolique quand même et rappelle cette époque là.

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Mais t’as raison, parce que le premier public de Sébastien Tellier, c’est celui du Baron alors ? Peut être pas au Baron même, mais moi, je me souviens de soirées à Calvi, par exemple. Je la photo. C’est plus facile de revenir à l’art contemporain puisqu’on est dans le plateau des absents ? Emmanuel Perrotin. Oui, et aussi c’est quelqu’un qui a été courageux.

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Et Sébastien, c’est aussi. Sébastien Tellier a travaillé avec Xavier Veilhan pour avoir fait le lien avec l’art contemporain. C’est vrai que c’était courageux pour lui de se produire à Calvi qui veut dire les choses, qui est le contraire complet de ce qu’il est c’est vrai. Ah ah ah non mais t’as raison, ça n’a pas fait la chute. Estompée, mais c’était assez physique.

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C’était ça passait. J’ai eu beau publier, on écoute un peu la ritournelle, donc voilà dix morceaux que Greg a choisi, qui symboliserait durant toute l’émission l’esprit musical de l’endroit. Donc dix sur je ne sais pas combien de milliers. J’imagine que ça a été compliqué. On écoute un peu, on se retrouve tout de suite à faire du du du et du du du du et du du du et du du du Pas du Rhin à la folie du top à ma classe de l’acteur de 2022 et du rock de la du tube et du live Messenger, du café matin des l’Armistice du Mans sur le lieu du du et du du du de retour de retour avec

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nos copains de l’art avec Micka et Huard avec Théodore, fidèle avec Marie Martin avec Lionel Boutruche. Autant pour moi, avec Samuel, ça se termine avec eux comme truc. Ou alors comme trouver quand plein de mots. Samuel Boutruche et de personnes qui nous ont jointes. Alors je connais le personnage, mais Laurence planqué derrière car derrière, on a ceux qui attendent leur tour.

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On a eu Nicolas Ullmann on a vu Pierre sur qui on a Philippe Manœuvre, on a Mouloud qui n’arrête pas de boire du champagne parce qu’il attend trop. On a Greg Boust et Matthias Mimoun. On pouvait applaudir Matthias Mimoun et toute l’équipe qui est avec nous. Voilà même la mort, même s’il applaudit pas souvent, à part dans les défilés.

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Alors là, je rappelle le contexte. Nous célébrerons les dix ans de cette boîte de nuit qui nous environne, qui nous a accueillis, qui nous a dit comment dire couver, qui nous a dit a été de l’endroit ou on a été en gestation, qui nous a fait appeler le baron et qui nous a commandé un taxi et nous a ramené chez nous toutes les nuits pendant un certain nombre d’années.

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Et donc nous sommes là pour fouler cet endroit sacré, mais aussi pour raconter quelques histoires. Par exemple, à Théo, je sais qu’il était arrivé un certain nombre de choses ici et alors voilà le premier hiver. Diverses et variées. Vous le raconter ? Donc Théo a dit oui. Diverses et variées. En plus, tu veux que tu racontes de raconter, raconter quelque chose qui vaut la peine d’être entendu.

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Le problème ? J’ai toujours voulu venir boire un dernier verre au Baron et est rentré chez moi tranquille, pour aller travailler le lendemain à l’atelier et je n’ai jamais pu rentrer seul.

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C’est à dire ? Mais voilà, visiblement, ça continue continuer. C’est tout. Peu habitué des longs silences comme ça, un truc un peu comme on m’a demandé de venir pour faire un rap et que plus personne veut que je fasse. Théodore est resté un peu sur l’ancienne notion du baron. C’était le baron dans la vie de baron. On veut le rap de Théodore dans le rap Théodore.

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Il va être en fonction de la chanson qu’il va devoir. Est ce que tu peut rapper un truc connu ? Tu peux le faire ? Non, mais tu veux rapper quoi ? Théodore sur le rap, mais rap à moi. Mais quel regard ? Pas toi ? Est ce que tu connais ? Ah oui, le rap, oui. Ah oui ! Qu’est ce que tu pourrais nous mettre comme instrus sur YouTube si on veut faire un truc là ?

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Au tempo, tu vois Booba, il essaye te sens. Tu te souviens de ce tube Black Bloc ? Oui, c’est moi qui vais écrire c’est trop rapide, c’est trop rapide et beaucoup plus lent. 45 BPM un peu. Moi, je suis la nouvelle génération des rappeurs. Tu vois les mecs qui rappe très lentement, tu me fais un peu peur et tu m’as fait ne fait rire.

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Mais tous les autres vont se marrer aussi. Dépêche toi, tu sais pas qui nous fait peur, c’est qui ? Attention, vas y, lève toi Basile vite c’est pas possible entendre un all the girl say it’s not islam all the girls et tonight is all the girls et tonight it’s all the girl et it’s not islam up and down and their un The bimbo mais c’est un rap.

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En rappelant C’est vrai que j’ai 20 ans, je me suis posé la question en écoutant ton accent. Et si tu avais déjà ramené une fille anglo saxonne ? Apparemment, non. Mais est ce que tu n’as pas compris ? Je n’ai jamais ramené personne à jamais seule. Je me suis toujours fait ramener. Ah oui, d’accord. Donc là, tu est vraiment en train de montrer ta braguette, la braguette étant quasiment tout le temps ouverte en cas ou il en aurait besoin.

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Puis en train de dire que finalement tu as été un symbole sexuel pendant ces dix dernières années. Oui et je te comprends bien. Oui, oui, oui. Micka, très vite on parle beaucoup d’André parce qu’il faut qu’on se dépêche C’est vrai, on ne peut pas répondre. Alors on parle de quoi ses frasques sexuelles ? Je l’espère. Non, non. Tu m’as dit juste avant, il faut que je parle d’André.

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Je ne puis parce que cette histoire du Baron démarre avec André et Lionel évidemment, et tous les amis d’André. Ce que j’ai aimé dans cette histoire, c’est tout d’abord Line Renaud. Non, les vrais amis, pas ceux du showbiz, ceux des amis de l’art. Et pour moi, André représente une sorte de père de forme, de dandysme de l’art. Et je trouve que c’est une sorte de dandysme, dandysme contemporain.

00:27:10:17 – 00:27:33:08

Mais comme une sorte de diffuseur d’ambiance culturelle, quelqu’un qui serait autour de lui, une espèce de bonne humeur qui va au delà de l’art et qui qui qui réunit les gens. Donc je voulais juste faire un petit hommage à André. Et dire que ça a commencé comme ça, je pense. Maintenant, il est temps de passer ce qu’on appelle ici en mode nuit, donc le mode nuit.

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Qu’est ce que ça fait quand on l’entend Qu’est ce qui s’est passé sur les Castrais ? LOL alors vous avez ici Regardez bien ce chapeau, ce chapeau qui possède dedans des petites choses à dire ou des petites choses à faire. D’accord, alors Et qu’est ce que je fais ? Est ce que je le passe pour tout le monde ? C’est ça ?

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On en parle pas le temps, si, si rapidement. Mika. Un papier donc c’est le mode numéro un. C’est comme ça, on en a le noir le noir. Donc ça veut dire que tu vas chanter rapidement au karaoké avec Matthias Mimoun ? Alors bien lève toi. N’aie pas peur. Impossible. Tu verras ça fait toujours ça la première fois. Le micro, je pense que tu peux le laisser puisqu’on va t’en donner un nouveau.

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J’ai fait mon rap. Voilà une dernière. Dis au hasard donc. Michel le berger complètement au hasard. La groupie du pianiste, la groupie du pianiste, la croupe, la croupe. Autant pour moi, groupie du pianiste rapide elle passe ses nuits sans dormir, à agacer son bel avenir dure groupie du piano et il faut qu’on le suive. Oui, Dieu, que cette fille à l’air triste, amoureuse, la groupie du pianiste, elle pousse toute sa vie en l’air, mais toute sa vie, c’est pas grand chose.

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Qu’est ce qu’elle aurait bien pu faire ? Je ne sais pas quoi. Assise sur son lit ou un truc comme ça. Le soir entre.

00:29:23:18 – 00:29:51:15

Bravo ! On s’arrête vraiment peu alors qu’on a tort. Non, non, c’est du foutage de gueule. Non mais continuer avec elle l’aime, elle l’adore et compagnie dans l’air. Voilà un homme c’est fou comme elle l’aime, mais parce qu’elle. Bravo ! Bravo Et on peut l’adore et peut rappeler l’adresse du Palais de Tokyo qu’on est en train de chanter. Alors tous les soirs au treize avenue du Président-Wilson.

00:29:51:21 – 00:30:16:03

Et tu porte toujours cette robe quand tu chantes, tu es magnifique. Samuel, à toi de tirer. Si je peux me permettre à c’est noir, alors ça chante c’est noir sa chance. Allez, allez, tu peux rester ou tu es. Si je passe mon tour au rappeur Brother Il a déjà chanté. Ou Marie, peut être a envie de chanter cette envie de chanter.

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Moi, je suis un piètre. Qu’est ce que tu peux nous proposer rapidement ? Matthias J’aime les filles, tu sais la chanter ou pas ? Battez des. Moi, je la connais pas plus que toi. On va essayer les paroles. Je sais que c’est difficile de passer après le rap de Théo, mais quand même temps, ça a bien changé. Maintenant, il y a des napperons.

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Oui, il y a un décorateur breton. Oui, absolument. Oui. On est une vieille Bretonne qui est dans la cave et qui fait ses napperons depuis déjà deux ans. Et on dirait qu’il a séquestré un lacet entre le Maroc et la Bretagne. La déco, ça Tu auras peut être besoin des paroles. Je ce bien les paroles. Attendez. J’aime les filles. La jupe au beurre et ça parce que j’ai de la concurrence.

00:31:10:08 – 00:31:42:07

J’aime les filles de chez Castel. Tiens, j’aime les filles de Chez Régine, j’aime les filles. Elles j’aime les filles des magazines. Jacques Dutronc vient de se suicider. FB vient de m’envoyer cette dépêche. Jacques Dutronc est mort Merci à Samuel. Merci. Serveur. Ah bon ? Alors on va clôturer donc l’équipe de Lars. On remercie Michael pour Play On remercie Samuel.

00:31:42:07 – 00:32:07:03

Votre Ruz. Si je vous remercie, c’est que tout le monde applaudit en remerciement. Voilà, voilà. Avec sa nouvelle recrue Marie Martin, c’est Théodore qui va ce que j’envoie. Ma facture, on nous l’envoie en un mois. D’accord, merci à eux. On m’a écouté le deuxième choix de Greg Boust ? Greg Boust. On aimerait que tu nous vois, il se relève tranquillou.

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Alors Airbus, tu va nous dire neurologue, c’est les Daft, c’est les Daft dans leur dans leur premier album. Parce qu’ici, ce n’est pas pendant au moins les cinq premières années. Je crois qu’ils n’avaient pas un seul DJ qui n’était pas un Daft Punk tous les soirs. D’accord. Aussi simple que ça. OK, on écoute Daft Punk, on remercie encore une fois l’équipe et on se retrouve après avec l’équipe mode bienvenue à tous points de vue et applaudissements s’il vous plaît.

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Pour et maintenant ? Maintenant, chère Arielle, toi qui es, on va dire, qui prend soin de ton look depuis une quarantaine d’années, j’en a une très belle toilette. Belle toilette, belle finition, belle matière. Et qui dit finition, matière dit forcément mode. Ce soir avec nous donc, l’équipe mode Lauren Bastide lance Jean-Charles de Castelbajac, Maroussia Rebecq, Guillaume Salmon, et Sylvia Joris.

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Applaudissements. Alors on ne peut pas donner quand même leur fonction et leur salaire. Et tout ça, on les applaudit. Au moins leur salaire, on peut leur demander leur salaire. Est ce que chacun votre tour, on va commencer par Silvia. Combien tu gagnes ? Étonnamment, ça a évidemment complètement oublié de parler dans le microcosme, bien sûr, mais n’a étonnamment pas beaucoup.

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C’est lamentable. Est ce que tu peux nous jouer ? Mais c’est la presse. Tu n’as pas un piano qui dure dix secondes sur l’argent, non ? Ah si, si, l’arnaque, l’arnaque, l’arnaque combien tu gagnes ? Guillaume Salmon On a son micro ne marche pas comme il gagne beaucoup plus tard dans la soirée du Hainaut. On va continuer Combien tu gagnes ? Moi, je gagne sûrement plus que Sylvia, mais peut être un petit peu moins Guillaume.

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Jean-Charles. Moi, des rencontres et des rencontres qui me font grandir. Belle pirouette. Lorraine Maintenant que t’es passée rédactrice en chef, t’es pas obligé de nous dire exactement une fourchette entre 1000 et 10 000 quatuors par sur Twitter. Ah, les folles rumeurs sur Twitter. Son micro marche le micro, on le voit alors que là, on est déjà dans le qu’on des d’argent et de savoir le grand tabou de l’argent dans la mode et c’est ça qu’on veut.

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Et pourtant, il y en a de l’argent. Il y a l’argent en France dans la mode et tout cet argent dans la mode ça se trouve vous le dépenser ici ? Est ce que vous avez dépensé ? J’ai jamais payé si. Ah voilà, c’est une bonne selon moi. J’ai dépensé des fortunes. À toi, tu te fais plaisir de voir ça.

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Beaucoup de piscine, beaucoup de barreau, j’ai voyagé, j’ai payé le ballon, savoir chercher qui était la personne qui payait depuis toutes ces années. On est hyper content de savoir que c’est toi. Mais j’ai fait aussi beaucoup de bars en basket comme en basket et ça fait aussi des marrons pastèques. J’imagine une fin de soirée avec tout ça, un peu dans Rose pour moi, si tu es Sylvia et Lorient, on payait beaucoup à l’avant.

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Baron, l’ancêtre du Baron. A l’heure, le lieu comprend. Cette banquette existait d’ailleurs. D’ailleurs, Lionel, qui est là, qui quelque part, qui se cache, aura la joie de peut être nous dire ce qui se passait ici avant puisqu’on sait juste une chose et qu’il y avait les plus belles filles de Paris. Il y a un livre intéressant de Marc-Edouard Nabe qui était assis à l’emplacement.

00:38:58:14 – 00:39:05:06

Daniel et qui notait quelques rares Il faut absolument que je joue en place Attends, je vais vomir dessus.

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Votre papa qui racontait ce qui se passait tous les soirs. Alors c’est juste pour restituer, ça fait plus. Lauren et Lauren et Sylvia, vous travaillez toutes les deux ? Hoël. Oui, on va dire que vous avez commencé Hoël à l’époque même ou le baron venait d’arriver quasiment tout à Lorraine, c’est ça ? Ouais, voilà la même année. Et le baron a aidé.

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Peut être à faire ton stage aux Halles ou pas du tout. Le Baron m’a tout appris. Le baron a tout appris. Ça veut dire que finalement, on voit, on voit la formation d’une rédactrice en chef du ELLE à travers le Baron. Ça a été ta carrière, tu l’as fait presque aussi bien sur toutes les rencontres. Elle se faisait ici garantir le vote de la presse C’est pas bien.

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Tiens, prends ça, prends ça, prend ça. Mais ça marche. Là, je ne sais pas, mais ça va être. Oui au Baron ont rencontré tout le monde, ont rencontré toutes les gens de la mode. Et au Baron, il fallait surtout bien s’habiller ou séduire. Et une fois, tu m’as dit que tu étais très peu servi. Un peu plus, c’est vrai.

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Jean-Charles qu’on ne présente plus ma Russie à Rebecq, donc qui possède. Mais pourquoi tu t’es passé comme ça sur Jean-Jacques, qu’on ne présente plus et on ne présente plus ? Donc voilà, c’était pour continuer. Maroussia qui possède Andréa Crews. Est ce que. Qu’est ce que le Baron ? Alors il apparaît que c’est une manière et une manière de les remettre en question.

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Pour ceux qui ne connaissent pas les gens qui sont là, on sait jamais. Et Guillaume Salmon qui travaille chez Colette quasiment en même temps depuis un bon moment aussi. En fait, vous êtes un petit peu. On dirait qu’il y a dix ans, tout s’est passé et qu’on en fait entre les nouveaux boulots de chacun et un nouvel endroit pour sortir l’autre, il y a une vraie résonance entre le baron Colette que représente Guillaume.

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Ce soit Andréa Crews qui représente Maroussia Castelbajac, qui est aussi une grande icône de la mode française. Et le. On est des institutions de l’esthétique. Faites partie des films français. Le renard voudrait vraiment te dire que depuis que t’as changé de micro, et une autre fois. C’est vrai, je connais plus ou plus de présence. Et là, tu as une aisance de dingue.

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Et d’un seul coup, tu vois, je ne sais pas pourquoi je me sens hyper attirée par toi. Je le dis, mais c’est ça. Mais la mode, c’est une question de vie. On est là, on est là pour parler aussi. J’ai l’impression que de ce côté là, c’est quelqu’un, quoi alors ? Donc Marussia, pourquoi est ce que tu ne payez jamais ?

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TVR En, c’est le long. Si je peux faire une belle course à la télé, performante, elle était très copine avec le patron. Moi, je suis très copine avec le patron et il y a plein de patrons local à moi. Je suis très copine avec Léo et Simone et donc on faisait les petits témoignages avant de se retrouver là tous.

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Et donc ici, on est au Baron, mais à la fois au Parc de Paris, à L’embuscade. Récemment, Internet et tu peux me dire d’autres lieux l’ALÉNA à la villa Lena, Margot, d’autres lieux encore, bien loin dans le monde ? Bien non. Partons du débute avant. Avant Le Baron, il y avait là de Johnson. J’y allais déjà avant le Baron.

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Il y avait là Johnson, bien sûr. Et Lionel, à quel moment tu l’as rencontré alors ? Justement, mais un bon gars parlait en 2000 2000 et quelques noms de lieux. Je ne me souviens plus de quand je t’ai rencontré. Et je crois que c’était l’année de sa puberté. D’ailleurs, 2005, il a commencé à avoir des gardes du corps. Le baron a ouvert en 2004 à papa.

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OK, donc tu l’a rencontré un peu avant moi comme ça et tu lui a demandé si, éventuellement, tu pouvais avoir un passe droit pour ne jamais payer. Est ce que je peux avoir un verre ? Salut, voilà. Et ça a marché et ça a marché. Jean-Charles Et tu es un habitué du Baron encore aujourd’hui ? J’y viens moi mais mes fils viennent souvent.

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Et c’est vrai que Baron, pour moi, ça a été la cinquième cinquième borne. Parce que la première, quand je suis arrivé à Paris dans les années 60, c’était le golf Drouot. Donc il y avait des performances et tout. Ensuite, il y a eu le bus Palladium, le bus Palladium qui était bien rock et bien barré. Oui, il y avait Castel bien sûr, et ensuite le Palace et les Bains.

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Mais avec le Baron au vert, j’ai retrouvé cette fibre au contact de la performance. Il y avait, il y avait des groupes et il y avait Greg. Moi même, j’ai chanté du green d’une manière tout à fait improbable avec des Anglais ici. Et à chaque fois, il y avait quelque chose d’inattendu. Il y avait un accident et c’est ce que j’aime particulièrement dans cet endroit.

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Et bien tu vois, voilà quelqu’un qui dit les choses simplement je donne ça. Alors moi, je pense qu’on est sur une bonne note interne, aérienne, mais donc inspiration, donc créative. Parce que tout créateur qui soit dans la mode, l’art et tout puise dans la nuit l’inspiration. Donc pour moi, ça a été un lieu inspirant. La nuit, l’inspiration de Matthias au piano s’il te plaît.

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Quelqu’un a de l’inspiration pour excuse moi tu connais pas assez. Flash in the night, tu sais la faire c’est aussi créer de service. Un vieux truc des années 80 ? Non, ce n’est pas grave, c’était un peu leur wandering begins to fort. C’est bien ça right Profitons en. Théo ne va pas rapper moi j’aime pas. Le magazine joue juste qu’il a joué le soir ou Before qui était là.

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Est ce que tu te souviens ? Parce que ça, c’est vraiment un accident du Baron ? Yorke est là et Matthias improvise et adore. D’ailleurs, Matthias, lui, viendra nous voir pour nous raconter cette histoire qui tout le monde n’a pas été témoin de cette histoire. Moi, je l’ai vu juste en vidéo. En revanche, tout le monde est au courant que c’est un beau moment, qu’un soir Bjork est venu ici ou devienne, je pense.

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Elle s’est mise à chanter. Et toi, au piano ? On était pas un, mais n’a jamais signé de contrat avec elle. Non, mais c’est ce soir le contraire. Qu’est ce qu’il y a ? On y attend juste. Il y avait un truc à jouer. Qu’est ce que tu voulais que tu fasses un accident ? Et après, on met la musique en mieux via un signal.

00:45:19:01 – 00:45:37:20

Alors il y a la sortie de l’imitateur. On va écouter le troisième choix de Greg Boust maintenant. Et après, on reviendra vers vous. Ben moi, j’étais là. Matthias a vécu ce truc là. C’était assez fou, très bien. Et qu’est ce que tu vas nous faire écouter maintenant ? Je ne sais pas, on va l’entendre. Je n’ai pas l’ordre dans la tête.

00:45:38:15 – 00:46:48:18

Est ce que tu va écouter Beghin ? Et maintenant Begin remixé par Pilou ? Ce qui fait partie de ce qui et c’est une pensée, avait dit qui. Voilà la petite anecdote que Mehdi au festival de rock cette année là. La troisième année du Baron avait fini avec ça de debout sur les platines et après on a joué tout le temps avec Amandine du du REG qui va distinguer les Têtes Raides mais rien du tout.

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Walter Van Haver aurait dû payer la moitié du du pape à la pointe. Mais moi, tout ouïe, moi même Ben Ali, les communicants ne font rien. Un fait, rien. Moi, je viendrai taper tu rates pas la face avant de faire de manière fort et des répliques bien n’allons pas maintenant quand même Madonna. Oui, même pas pour cette one man show avec les tapettes rien de bien 2 à 3 mois dans la tête à avoir raté un entracte.

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La règle du One. Pas la peine Salmon Oui à sa. J’aime beaucoup la musculature. C’est vrai que tu t’es développé en disant état de ta peau et sa voix, tes oreilles délicatement ourlées, ta barbe qui s’accorde parfaitement à cette nuque extrêmement vigoureuse et épaisse. Et j’ai envie de te demander un peu trop. Histoire commune qui unit Colette, le célèbre magasin multimarques Concept Store de la rue du Faubourg Saint-Honoré s’impose tout simplement à cet endroit.

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Le Baron. La première histoire, c’est lorsque André nous a dit Venez vous et moi, cette voie, venez ça, c’est du velours a mué aussi en disant Oui, forcément, on fait une puberté du temps gardé. Mais qu’est ce que tu as fait pendant dix ans pour être épais comme ça ? J’ai arrêté de fumer, tout simplement. Moi, je pense que on peut prendre de la musculature.

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Donc nous avons interrompu par Colette et le bar. Je me rappelle d’entrée, disons Venez, venez les copains. Excuse moi, c’est du corps du roi, ton ton manteau. C’est vraiment une très très belle étoffe et je trouve qu’elle s’accorde hyper bien au grain avec sur moi. Il continue. C’est une sorte de denim retravaillé. Moi, j’adore, c’est vraiment superbe. Je suis assez servi.

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Un petit baron, André, dix ans, en nous disant Venez, on ouvre un lieu à papa, un hommage, un lieu pour les copains, un lieu qui va rassembler les artistes diverses et variées. Un lieu qui va nous ressembler. Un lieu qui vous sera ouvert à tous. Sept jours sur sept, donc on est venu un jour. Je sais plus. C’était un jeudi ou un mercredi devant le lieu qui était vide.

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Cela viendrait nous poser un petit tour du propriétaire, si je puis dire. Ça, c’était le premier, le premier souvenir. Et ensuite, tout allait de pair entre l’évolution du baron, notre évolution à nous. Colette Créer de l’énergie, créer des symbioses, des communions, rassembler des collectifs d’un carrefour entre différents microcosmes et rassembler les gens et les gens. Et c’était vraiment ce qui prédominait entre les 2,5 g.

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En plus d’être beaux mecs, tu as des talent de conteur incroyables. J’ai été captivé. Il y avait un petit côté grand corps malade. J’ai écrasé une larme, mais il y a un mot qui, pour moi, connecte vachement Colette et le Baron et qui a un mot, je pense. Dix ans un peu, c’est la hype. C’est un peu les lieux de la hype parisienne et osent tout mélanger.

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Je pense que ce mot est à proscrire aujourd’hui, mais en même temps, c’était un Moi, j’aime l’idée que les deux lieux ont permis de remettre Paris sur l’échelle de l’échiquier capitale, de la BD niveau et de. Parce que l’effet que vous avez fait ici vous les avez fait aussi à Tokyo, à Miami ? Absolument. D’ailleurs, plus à l’étranger qu’ici, si je puis dire.

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Comme tu disais, New York, Tokyo, Miami, Cannes, même si c’est dans le Sud, ça reste en France. Ce n’est pas l’étranger, mais une petite observation personnelle. Et tu peux nous raconter un des meilleurs. C’est un très bon souvenir d’une association Baron et Baron à l’extérieur d’ici à Lausanne ou une à Tokyo. Dis nous en quelques mots. Alors à quoi ça ?

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Halloween à Tokyo ? Déjà toi, tu étais déguisé. Comment ? Moi je t’ai déguisé en français donc en marcel baguette, en plastique sous le bras. Et c’était facile. C’était simple, Sarah était déguisé en je ne sais plus qu’on appelle ça, mais c’est les sapins de autorisons pour les voitures un sapin magique et ça rend sapin magique, ça rend magique. Donc pas de Sarah.

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Si j’ai des photos, est ce qu’il y en avait ? L’odeur du sapin ? Du sapin magique ? Non, elle devait sentir un très bon parfum qui vient du lapin, devait sortir du bois.

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Mais c’était fabuleux de voir de tous les Japonais à Tokyo pour Halloween, fête Halloween à Tokyo. Tu as été surpris de voir des Japonais à Tokyo ? Non, non, finalement, c’est vrai que ce n’est pas une grande Finalement, je sens très souvent, mais de voir des Japonais fêter Halloween. Oui, et de quelle manière ! Ils doivent se déguiser, d’apprécier et apprécier notre propos, notre thématique, notre direction artistique pour la soirée.

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Oui, ça va beaucoup plus. Ils aiment bien aller jusqu’au fond des choses les Japonais. À mon avis, ils avaient des déguisements qui devaient être intéressant. Éventuellement, le souvenir d’un mec qui est allé de très très loin, un Japonais. Je parle évidemment à Sumo, Yakuza, mais il ne faut pas le dire. Ah oui, un sumo, il y a cousin, il y a un cousin en ce jour de Gualeguaychu.

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Mais c’est vrai que c’est vrai que les deux à la fois. Je me rappelle d’un mec hypersensible, mais dans le regard très qui fait peur, qui fait peur, pas un peu hostile, tatoué de partout. On se bat en couche de sumo. J’ignore le nom de Non, c’est pas string. Oui, oui, on a un truc en minimal. Le troublant retour au cinéma et qui faisait sa danse.

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Il avait sa cour autour de lui et c’était assez. C’était vraiment marquant. Silvia Ces dix dernières années ont été aussi l’ascension d’une sorte de rituel complètement absurde, hystérique et effréné. Et sans doute inutile, qui s’appelle la Fashion Week et la Fashion Week qui se passe souvent dans les after ici. C’est vrai, il y a eu une époque ou ici était l’antre de l’after show, des fin des défilés des créateurs.

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Et moi, à l’époque, je suis jeune journaliste à L qui commence à avoir mon petit nom dans le cénacle de la mode et déjà bon être invité à un défilé de mode, c’était quelque chose. Mais alors quand ? Ensuite, après le défilé, on reçoit une espèce d’invitation un petit peu obscure sur mail ou sur un même fax. Vous êtes invités à la after show du créateur d’un seul coup, c’était un Graal et il y a eu plein.

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Il y a eu beaucoup d’amour. Et vu la petitesse de l’endroit, il n’y avait pas accès à tout le monde. Donc il y avait ce truc à la télé, vraiment été extrêmement privilégié. Donc déjà, être invité à l’acteur show du créateur était quelque chose de fou. Et en plus au Baron. Donc, c’était une espèce de cocher toutes les croix du paradis.

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Alors le truc, c’est que les gens allaient dans les after show des designers parce qu’ils connaissaient les gens du baron et rentraient un peu comme ça aussi. Bien sûr, il y avait aussi des gens qui arrivaient à s’incruster dans le show du designer qui, dans les talk show, était extrêmement privé puisqu’ils en général, ils avaient préempté totalement l’endroit.

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Amer. Bien sûr, il y avait des habitués qui disaient impossible que John reproche au Baron ce soir. Mais moi, pour me souvenir de ça, c’était quelque chose à moi. Jeune journaliste de mode c’était quelque chose de fascinant parce que un créateur, c’est quelqu’un d’assez inaccessible. Et quand on était dans cet after show au Baron, parce que j’ai fait aussi beaucoup d’after show ensuite.

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Et ça ne s’est jamais reproduit. C’est vraiment quelque chose. Alors c’est vraiment quelque chose qui est propre à cet endroit. Quand on arrivait dans un after show d’un créateur au Baron en l’occurrence, j’en ai fait pas mal avec Balenciaga. À l’époque ou Nicolas Ghesquière était le designer. Si on avait un accès direct puisqu’il n’y avait rien, il y avait ce couloir.

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Et puis d’un seul coup, tout le monde était là, donc on pouvait danser le Gers ou n’importe quoi avec le créateur, ce qui était fou. Voilà, écoute et ça fait. Tu as fait revivre ce moment et c’est avec énormément de talent et en même temps de sensualité puisque tu as bougé ton corps en même temps que tu faisais réapparaitre toutes ces silhouettes.

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Mais là, c’est rageant que j’en ai conçu une certaine excitation, toi, Jessica, au téléphone, on n’a pas voulu le laisser parler. Non, parce qu’on est en pleine discussion un peu plus tard et tout le monde Et j’imagine que la taille de cet endroit, qui n’excède pas 180 mètres carrés, mais la favorite s’apprêtait vraiment pour ce genre de fête de la promiscuité, faisait l’idéal de la situation.

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Ça rendait tous des trucs un peu plus intimes. Mais d’un seul coup, on avait accès à des gens. On n’avait pas idée qu’on puisse avoir accès à eux, même si on les connaissait, même si on a travaillé avec eux. Dans la vraie vie, ça passe par 120 ml. Beaucoup d’entrevues avec les attachées de presse et d’un seul coup.

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Et là, d’un seul coup, on est sur la piste et on danse avec le créateur. Et si on lui demandait si bien que qu’on peut génial sans le solliciter ? En plus, on sent le solide, ça rassure juste de savoir qu’il est là et que tu vas danser pas loin. Et si je suis d’accord ou pas, ça fait que je repense, je repense.

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Moi, j’étais aussi, peut être même stagiaire à l’époque, et on entendait ça, Kate Moss aussi. Et c’était complètement dingue pour passer directement de la campagne de pub dans le magazine, en un seul coup, on avait Kate Moss qui était en train il y a peu de temps aussi, qui a chanté l’Edito. Et je pense que l’esthétique qui s’est créée à cette époque là au Baron était aussi emblématique des années 2000 et 2010.

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Que sa juste valeur gagnait. Une particularité du baron, c’est que le baron commence déjà dans la rue avec Bach. Donc avec quelqu’un qu’on aime et qui est qui comme ça, c’est le sens de l’accueil. Et ensuite, il y a ce process absolument incroyable du petit couloir qui va nous amener d’une manière initiatique à l’endroit ou on danse, à l’endroit ou tout se passe.

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Donc c’est un petit théâtre en quelque sorte ? Oui, c’est vrai, un vrai spectacle vivant. Il y a le côté cour et le côté jardin, le côté jardin. Ça pourrait être le couloir cosmique qui conduit aux toilettes. Mais il y a aussi ce couloir qui tu l’aimes bien. Jean-Charles, je l’aime bien parce qu’il est tapissé de moi. Je suis très sensible aux matières, alors il y a un néon rouge avec le dessin d’André, bien sûr.

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Et puis il y a ces murs qui sont tapissés toujours de couvertures, de lieux de sauvetage, de survie, de va, de survie et il y a d’autres autre. C’est un côté 2001, l’odyssée de l’espace. Et ma question qu’est ce qu’ils veulent ? Ramdam et ramdam, toi qui arrivent du Gers, bien sûr. Et bien oui, il est mon voisin. Voilà pourquoi, dans nos débats normaux, théoriquement, vous devriez pas intervenir dans l’histoire.

00:59:16:05 – 00:59:36:06

Une Ça donne des ailes. Est ce que tu peux en train de locale ? Pas du tout. Les minorités veulent parler ? Exactement. Nous sommes une radio locale à l’intérieur de la radio locale. La question que j’avais pour toi, Jean-Charles. Et nous tenons à revendiquer car nous sommes en grève. A vous aussi Mathieu Gallet. Jean-Charles Est ce que cet endroit, à ce moment a inspiré ?

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Est ce qu’il y a eu des choses que tu as concrétisées avec une ou une inspiration par rapport ? Je ne sais pas. Les majors pas aller dire à tu veux, tu peux le savoir, je peux te le baron, ça que finalement tu as retrouvé. Tu veux dire au Baron ? Reste au baron. J’ai cru qu’en fait le baron serait une première étape et que le prochain club d’André Diesel s’appellerait le Marquis en hommage au marquis de Sade.

01:00:00:07 – 01:00:24:22

Mais non, non, il y a eu un endroit qui s’appelait le Marquis et pendant que le baron était ouvert et ils ont arrêté parce qu’ils voulaient faire la même chose. Mais on ne peut pas faire la même chose Je propose qu’on passe en mode nuit maintenant. Le loup est ce qu’il va mieux ? Est ce qu’il y a un loup Le mauvais a demandé à Ramdane, Touhami et Mouloud d’arrêter de se faire des espèces de papouilles arabique.

01:00:26:09 – 01:00:52:13

Ne se dément pas avant une femme en grève, Lauren. Si vous n’avez pas encore les papouilles si vous tirez un papier noir, il faudra chanter en un T’es pas au courant ? Avez oublié quelque chose ? Je rappelle que le directeur de la radio Xavier Faltot a fait refaire son bureau pour 70 €. C’est scandaleux.

01:00:53:02 – 01:01:16:18

Maintenant, est ce que tu peux nous lire ? On est en Ligne Roset, c’est très cher chez nous. As tu quelque chose que tu ne dois pas nous dire encore ? C’est marrant, la dernière retiré Tiens, un autre blanc. Allez hop donc fais avec des tout meilleurs souvenir. Le meilleur souvenir est ce que tu es capable de nous le raconter ou pas ?

01:01:16:19 – 01:01:38:04

Non, je ne me souviens plus de rien en fait. Ah oui, ben oui. Non, mais moi, ce que j’aimais bien faisait au Baron, au Baron, on s’en foutait de comment c’était vraiment. Venez comme vous êtes. Oui, je m’en souviens plus. Il y a un débat oui, mais tu peux intervenir ? Non, mais c’était chouette parce qu’en fait, on s’en moquait comme on était habillé, on s’apprêtait pas pour venir au bar, on venait quasi en pyjama et en tongs directement.

01:01:38:04 – 01:01:57:20

On obtient un taxi ou on arrivait ici et c’était très libre. Oui, mais c’est parce que tu les connaissais. D’ailleurs, il reste une culotte et on a retrouvé tout à l’heure de la monnaie marron de la Russie, à toi aussi. Mais en même temps, ah, c’est un blanc ou c’est un noir, un blanc ? Alors qu’est ce que tu nous dit ?

01:01:58:06 – 01:02:21:10

Pardon, c’est quoi la recette du baron ? Est ce que tu pourrais ? Est ce que tu pourrais définir en quelques mots la raison pour laquelle ça a fonctionné ? Ah non, j’allais dire fraise, champagne tu veux une recette de cuisine ? C’est le cocktail, le cocktail mythique fraise, champagne et et vodka. Voilà très bien Jean-Charles, j’espère que tu vas pouvoir chanter.

01:02:22:08 – 01:02:42:05

Maintenant, ne regarde pas les dates. Qui peut intervenir ? Pas le temps en bas du chapeau, tire au sort et dit Si c’est moi oui. Ou alors Jean-Charles vote, c’est une question. Mais non, c’est noir noir. Ça veut dire que tu vas devoir chanter. Alors Matthias, qu’est ce que tu nous a préparé ? Est ce que tu peux le faire ?

01:02:42:15 – 01:03:02:24

J’ai un petit Français et j’attends avec toi un intéressant rocker. Un homme aurait aidé très bien les Clodettes. Tu as les Clodettes avec les castagnettes ou les barres honnêtes comme tu veux. Pas très bas. Est ce qu’on doit choisir alors ? Est ce qu’est ce que tu peux nous faire ? Une proposition en matière si on laisse Jean-Charles choisir ? Qu’est ce que tu pourrais ?

01:03:03:13 – 01:03:32:21

Comment ? Sur quelle chanson imagine tu interpréter Claude François ? Un. Claude François ? Ah non, non, ça dépend. Est ce que tu peux faire et pourquoi pas ? Je veux bien en France. Oui, on a eu Michel, 22 esclaves auxquels on a eu Michel Berger de Savoie. Des pièces de l’accord nucléaire à des sucettes, les sucettes dans les hôtels. C’est bien l’assemblée ici.

01:03:32:21 – 01:03:59:23

Alors prenez vos micro et je vous propose danser et chanter. Laisse tomber les filles, mais bon, tu vas en rendre compte sur le temps. Non, non, non. Je te laisse tomber les et vous et laisse tomber les garçons. Mais allez, on y va. Et Matthias, une langue, c’est ton papa peut faire tomber les têtes, tomber, a laissé tomber les filles.

01:04:00:17 – 01:04:47:05

Ça tombait bien, Blaise, condamné, pleura dans un verre. Et là, c’est dur. Mais la langue maternelle n’est pas la dernière à la barre. C’est les dix ans au moins dix ans avant de rendre hommage au village lyonnais, à la mère d’André La Loire les attendait dans des virages de piano à la petite bête, mais n’ont pas nommé Bravo à la nation.

01:04:47:05 – 01:05:06:09

C’est la danse, oui, on était conceptuelle en tout cas. Non, mais vous avez fait d’ananas, d’ananas pendant trois minutes ? C’est Guillaume. On n’a jamais appris, ça n’a pas été flagrant. Enfin, cela dit, moi j’ai laissé tomber les filles. Du coup, vraiment, j’ai écouté mon genou. C’était très convaincant.

01:05:08:20 – 01:05:34:24

Tu n’as pas viré ? C’est bien moi. J’ai trouvé la recette d’abord. Merci Matthias, c’était bien, c’était bien. On va conclure, on va bientôt. Chante Ouais, un autre. France Gall à un an ? Ah oui, il y a une question dessus. C’est un papier noir, un truc en noir et blanc dont il faut que tu chantes en solo ce jour. J’ai pas l’impression qu’ils aient envie vraiment de le faire.

01:05:35:00 – 01:06:03:01

Tout l’enjeu de l’affaire avec ma bande quand même. Non, la presse a choisi, j’aimerais. J’aimerais que la mode se rattrape parce qu’on ne fait pas quelque chose de facile. Pas vrai ? Alors pas du tout. Vous étiez génial. Alors je tombe là dessus. C’est pas tellement moi, mais j’adore la Bashung. Vertige de l’amour. A part ça, c’est dur. Sachez ça, c’est difficile, c’est hyper dur et c’est pas très grave.

01:06:03:09 – 01:06:32:20

Je ne peux pas amoureux d’ailleurs. Ah ça, c’est bien ça. Il faut trouver des paroles en solitaire. C’est une très bonne idée. Ah oui, c’est non. Il y a La Javanaise au dur, c’est la grosse déprime. C’est super. En regardant la mode et des principes, la mode danseurs, ok, on écoute La Javanaise Ah voilà, ce n’est pas facile.

01:06:33:20 – 01:07:30:00

Je n’en sais rien. Mais ça, c’est bingo. Et pas La Javanaise. C’est bingo ! Thérèse Moon Oui, mais c’est vrai qu’au 30 septembre 1945, alors j’avoue, j’en ai bavé. Pas avant mon amour. On est mort un mois avant d’avoir de mon amour Ne chantant la jarre, les restes du cœur de de Dieudonné mis en scène Les gens sont ravis. On remercie la troupe mode avec la reine Mathilde.

01:07:30:09 – 01:09:40:23

Jean-Charles de Castelbajac, c’est aussi un remake lyonnais pour Marc et Sylvia. Et joyeux anniversaire ! Merci à vous deux. On écoute le choix de Greg à côté de moi à chaque fois. Ben oui, la prochaine c’est justice avec Simian, elle va l’an Allons y et on se retrouvera pas pour l’équipe musicalement. Applaudissements ont été le bas. En fait, c’est Lisa Kate du pouvoir du du boulevard du du Le Baron, dix ans Oui, il a fait You have been également glam et gala.

01:09:41:17 – 01:11:28:19

Big Mama programme Big Big Music Thomas Mort c’est pour toi le pari très timide du titre Oui, y’a bien on a visité la mode, on a visité l’art. Et quoi de mieux maintenant que de parler de musique avec Greg Boust ? Avec Greg Boost, on applaudit s’il vous plaît. Ouais, avec Nicolas Ullmann qui ce soir est déguisé en Jean-Jacques Bourdin.

01:11:29:13 – 01:11:49:07

Exactement. Avec bien sûr Bank of Ski, avec Philippe Manœuvre, et avec Mouloud Achour. OK, si vous avez mieux chez vous, discutez entre vous. Mais je pense que là, on a un très très très beau plateau quand même. Non, parce que je me suis fait reprocher d’être premier degré. Ouais. Degré premier degré, premier. J’essaye de diriger un peu le truc.

01:11:49:08 – 01:12:03:02

Est ce que ça marche ? Mollo on en entend pas Mouloud. Peut on nous entendre ? Est ce qu’on attend Mouloud ? Ma parole est entendue. Est ce que tu as quelque chose à dire déjà ? Est ce que tu as quelque chose à répondre à ça ? Ben non. D’abord, je te pose une question. Pas bon. Répond que tu n’as pas mis de point d’interrogation à ta question.

01:12:03:03 – 01:12:17:03

Non, ce n’était pas une question Ça marche ? Ouais. Alors pourquoi parler de tout sauf du Baron ? Parce qu’au bureau, on parle de tout, sauf du baron. Quand on y va, c’est sûr, mais là, c’est spécial. Est ce que quand tu vas dans une soirée, je dis est ce que tu t’es plateau baron parce que c’est un endroit fantastique ?

01:12:17:04 – 01:12:41:09

Tu te souviens ? Ouais, ouais, ouais. Ouais, ouais, ça peut arriver dans la discussion. Je peux embrayer là dessus, mon vieux. Ben alors on a un truc à dire ? Non, je je bien qui m’énerve. Parce que là, vous le voyez pas à la radio. Mais le Marco est au max. Il est un heure, il est au max. Il a adoré, il a fait de la gym toute la journée, toute la journée, toute la journée, Il a pris son abonnement au Club Med à Bastille.

01:12:41:09 – 01:13:02:00

Il est bien là et c’est vrai que t’as rien à dire sur le bar ou avec le très Non, dis nous quand même quelque chose résume quelque chose du Baron. Est ce que je te dis ? Tu me dis un truc vite fait, on en parle plus ? OK. La première fois que je venais au Baron, c’était pas ouvert. Et à l’époque, c’était compliqué pour moi de retenir pour je rentrais pas beaucoup dans les bois et la seule boîte, je suis rentré.

01:13:02:01 – 01:13:21:01

Il n’y avait personne. C’était quand il y avait vraiment personne ici et c’était assez cool. Et après, il y a eu plein de gens plein de gens, plein de gens. Et puis je venais plus. C’est vrai. C’est fidèle à l’histoire. Et la musique, c’était alors la musique. Il se trouve que quand tu vas dans une soirée, c’est important parce qu’il y a le contact entre les gens.

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La musique, ça louche. Degré premier, c’est bigleux, mais on sent bien les coups. Ils ont raison. Non, ça ne va pas déconner. Non ? Non, car j’étais invité. Ce n’est pas par hasard. Non, je vois ici, toi, pourquoi tu m’as invité et pourquoi pas jouer ici, toi ? En fait, mon concept quand je venais ici, c’est que je remercie vraiment Greg Boust pour ça.

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Parce que tu vois qu’il en parle vraiment. Ce que je n’aime pas sortir. J’aime bien rester chez moi à regarder n’importe quoi. Ouais, très timide quand je vais sortir, même quand la musique me plaît. Je danse pas beaucoup. Et Greg me disait souvent Vas y, viens avec des disques. Et quand je déboule ici, ce que tu peux raconter, Greg, que c’était souvent le même truc.

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Ah bah oui, quand pense elle au micro, le micro va marcher dans un instant, Mathieu Gallet rétablit le micro. Mathieu Gallet oui, oui, ça marche. Mais quand tu es, quand tu déboulait ici, c’était toujours la même chose. D’ailleurs, c’est toujours la même chose depuis dix ans. C’est que d’arriver en direct aux platines. Bonjour, je joue. Je vois des personnes et je repars exactement.

01:14:20:18 – 01:14:45:07

Ça s’appelle un glisser déposer ses appels vers le DJ. Au bar, on est rentré chez soi, mais il est arrivé comme ça. Il est toujours rentré très vite. C’est ça qui est intéressant. On n’est jamais allé au Baron ensemble. Mouloud, jamais, je sais. Mais alors ? Et même à l’ancienne. Alors j’essaie de me souvenir de l’époque parce qu’à l’époque, c’était l’époque du protectorat et potes.

01:14:45:08 – 01:15:08:13

Là, avec la même P3. C’est vrai, mais ça n’est pas évident. Par contre, à l’époque, il y avait Philippe Manœuvre. Oui, à l’époque du protectorat. Alors Philippe Manœuvre, est ce que tu vas me parler des manœuvres à donner au consulat ? Alors voilà, un soir, on met dans la cave un déjeuner Une attachée de presse me dit Dis donc, j’ai vu ton ami Mick Jagger danser comme un fou.

01:15:08:13 – 01:15:28:20

Hier soir, ça se passait. Oh là au Baron ! Incroyable ! Le soir même, j’étais là pour lui, était reparti. Mais je suis venu vérifier. Ben, tu sais que les gens ont pris pour Mick Jagger ce soir là, ils se sont dit puisqu’ils étaient là hier, ça doit être lui ce soir, c’est sûr. Et j’ai pas été déçu. Franchement, j’ai été, j’ai découvert Greg Boust, j’ai découvert.

01:15:28:21 – 01:15:54:10

C’est son algorithme imparable pour réussir à créer une ambiance de fête. Implacable. Mais c’est juste un hommage à la entre deux et 3 h du matin et par un algorithme bizarre Après avoir passé John Lee Hooker, Daft Punk, Justice, il envoya France Gall et c’était l’hystérie collective. Moi la première fois. La première fois dans une pelle à un mec du rock, c’était Philippe.

01:15:54:15 – 01:16:12:15

Ah ouais ? Est ce que tu te souviens du soir ou j’ai cassé la gueule de Bach ? C’était super génial. Et moi, après, je l’ai rouer de coups par terre. Ah oui, il a adoré. Et comme il appelle son copain, le grand baraqué que je lui avais craché dessus. Ah, le mec, on a tué d’un ours à st pierre tu es muet ?

01:16:13:12 – 01:16:31:14

Mais non mais. Mais tu n’en pense pas moins. Mais moi, j’ai été vachement intéressé par ce que disait Philippe sur cet algorithme de ce que je me suis. J’ai un souvenir très vague. En fait, ça m’intéresse. C’est un signe très vague de Grey Goose en fait, qui me racontait comment ça marchait. Mais j’aimerais bien qu’il me raconte. En gros, quel est le ce qui m’a expliqué ?

01:16:31:14 – 01:16:48:11

Voilà qu’il y avait des lys, que c’était très savant, qu’on passait un morceau de disco, que derrière il fallait mettre un morceau un peu plus rétro derrière un truc d’électro genre tu me raconte Greg. Comment tu l’a inventé ce truc ? Je ne sais pas quelle heure il était, mais je pense pas que je t’ai dit qu’il y avait des lys très savantes parce que ce collègue est bavard.

01:16:48:11 – 01:17:12:00

Il est fou quand il continue Mais je ne pense pas avoir fait la moindre liste pour jouer. Mais non, je n’ai rien inventé du tout. C’est juste que pour l’anecdote, juste avant le baron, je me faisais chier à essayer de jouer dans des clubs qui voulaient entendre que de la house, c’était un enfer dont je n’arrivais pas. Et puis puis André et Lionel sont venus me chercher au Palais de Tokyo.

01:17:12:00 – 01:17:33:20

On y revient et ils m’ont proposé de jouer. Et j’ai halluciné parce que le premier morceau, Jimmy, c’est vrai, Philip c’était un Rolling Stones et je me suis retrouvé avec des gens de 18 à 60 ans qui étaient en transe et en folie. Parce que je jouais les Rolling Stones. Donc c’était à un moment ou cette musique là, elle n’était plus là.

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Est ce que tu as joué les Rolling Stones à Mick Jagger, vu qu’apparemment Mick Jagger, il y a eu ça ? Oui. Il paraît que c’était sur celui de jouer. Oui, j’étais là pour ses 60 ans. C’était assez fou, était vraiment le mec qui joue du jazzy quand il s’agit de Mick Jagger. Non, bien sûr, non. Si je joue bien, c’est pas un Biolay.

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D’ailleurs, c’est un peu. Mais pour finir, juste parce qu’il y a aucune recette. C’est juste que l’idée, ça a toujours été avant. Ça a été toujours de casser une recette tout en faisant Mais bien sûr qu’il y a une recette. Mais si tu veux la recette, je ne vais pas faire genre. Ça a toujours été de casser le rythme, de passer d’un grand BPM à un petit BPM tout en faisant que les gens ne quittent pas la piste de danse parce que je pense que les gens font chier.

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Je pense qu’on va virer les deux mecs. C’est un peu comme ça qu’il y a des gens qui font du bruit. C’est vraiment non. Ce qui fait du bruit. Nicolas Ullmann Oui, c’est moi même. Alors déjà, je tiens à dire que moi, je l’admire vraiment. Alors on est bar, on est pas mal à l’aise à chaque fois que je venais, Nicolas Ullmann était déguisé différemment.

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C’est vrai et j’ai mis du temps à comprendre que c’était la même personne. Mais on ne reconnaît pas parfois Nicolas. Nicolas est très, très bon dans le déguisement. Et d’ailleurs, un soir, tu t’es déguisé en back. Je me suis déguisé en badge, je me suis fait passer pour lui. Il y a plein air des gens qui m’ont pris pour Bacon.

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On leur a dit Ecoute, si tu veux rentrer dans Baron, tu vas avoir un grand black qui s’habille un peu comme dans Starsky et jusque dans les seventies. Je lui dis que tu veux de ma part ce jour là. J’avais fait des photos pour Lloyd, pour une série de mode ou il fallait représenter les métiers la nuit. Donc dans les métiers, la nuit, il y a le portier.

01:19:07:24 – 01:19:25:09

Je m’étais déguisé en basque, je m’étais endormi tellement c’était long pour maquiller 5 h de maquillage. Ah oui ! Et après la photo, je me suis pas peint en noir. C’était tellement long le maquillage. On m’a mis un faux nez, on m’a peint en noir, j’avais une perruque de cheveux frisés. Et comment ? Il m’a donné son costume et il m’a donné sa veste et m’a donné en taille 54, sa veste à carreaux, ses lunettes fumées.

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Et donc, je me suis dit c’est trop cool d’utiliser 5 h de maquillage pour se roder, maquiller une séance photo terminée. Tu sais que lui même, il y a sept heures de maquillage avant d’arriver ici tous les soirs. Qu’est ce que tu avais mis sous Éphrem pour échapper à ce qu’on achète au marché Saint-Pierre ? C’est une espèce de mousse pour remplir les matelas ou pour remplir les oreillers.

01:19:45:12 – 01:20:02:23

Et je l’avais mis pour avoir l’air un peu plus baraqué. Donc j’ai vu à la radio. Je me suis mis à l’entrée pour tenter une belle baraque en attendant. Puis quand même, tu sais que quand j’ai vu Philippe Manœuvre tout à l’heure, j’ai cru que c’était toi dirais Arrête Nicolas et Nicolas. Une fois moi, ça me fait ça.

01:20:02:23 – 01:20:19:05

Au concert de Drake, je crois que c’était Nicolas Ullmann à moi. Au concert de Drake, carrément. Je croyais que c’était Philippe Manœuvre. Je me suis fait passer pour interpréter un des copains du Baron pour Sébastien Tellier. Je me suis fait passer pour lui. Je suis arrivé avant son son. Son after show après son concert, je suis arrivé avant lui.

01:20:19:05 – 01:20:32:16

On m’a offert sa table, on m’a offert ses bouteilles. Je me suis un peu trop pris pour le personnage. J’ai fini sa bouteille et je me suis retrouvé par terre. Là, c’est vrai, j’avais pensé pour Facile, t’avais la barbe de Greg Boust. J’avais la part de ce qui aurait été lié à une bouteille. Ce n’est pas la même.

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Ah ouais ? Est ce qu’on ne parle pas cette bouteille ? Pierre Moi, j’ai une question pour Pierre tu parlais de mélanges de musique. Moi, j’ai l’impression que c’est surtout dans un endroit comme celui ci. On peut se le permettre peut être. We are the weather, c’est un groupuscule. Je pense que bien sûr, j’ai pas comprendre, non. C’est vrai que Greg avait raison quand il expliquait que par bien Trend Micro, c’était compliqué.

01:20:52:01 – 01:21:12:00

C’était compliqué de trouver des endroits. On pouvait jouer de tous les genres de musique et c’est vrai qu’au Baron, ça passe de l’électro hip hop en passant par le rock, des morceaux des années, la variété française hip hop et rock. Ce n’est pas non plus la vraie. Mais c’est vrai que généralement, les endroits étaient plutôt pop et c’est la radio du genre qui était belle.

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Greg Les choses autrement. Pierre et moi, c’est la réaction des gens me dire. Est ce que vous pouvez le dire pour faire débat ou tout le monde est d’accord ? C’est ce qui se passe depuis des années. Mais c’est vrai, c’est bien, je ne suis pas d’accord. Moi en tant que jeune Parisien, qu’est ce que tu voulais dire à Paris à l’époque ?

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Dans les années 90, en musique, si on voulait écouter du rock and roll, il y avait un petit passage obligé de un quart d’heure qui te passait à Lenny Kravitz, un Rolling Stones, un ac dc tu pouvais aller te coucher et c’était assez triste. Oui, mais Greg Boust a changé le game, non en un an, mais arrêté, non. Le truc c’est que en un an, on n’arrête pas.

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Si on a rien Ici, on a pu se marrer. On a parlé des mecs, tout. Et vous rappelez pas. Mais moi je m’en rappelle très bien. Dans les premières années, on se faisait critiquer de boom je ne sais pas quoi. C’était un peu relou, gentillet, mais en vrai, en vrai. Tous les mecs qui faisaient la bonne musique qu’on aime, électro, hip hop, tout ça venait tous boire des coups aussi.

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Parce que parce que quand tu fais d’électro, tu fais pas, t’écoutes pas que de l’électro tous les jours dans ta vie, t’as envie d’avoir la force de fierté, envie de dire un truc ? Non, mais je me souviens aussi de moments live. En fait, à Cannes plutôt, ou il n’y a pas, il n’y a pas eu que des trucs de DJ, avait.

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Je me souviens de ce concert de baisse d’Ito qui avait grimpé sur un piano en plein festival de Cannes. Il était hyper tard et piano, alors il va bien et il va bien. Et elle avait joué. Elle avait joué deux ou trois morceaux et il s’est passé ça au bar ont aussi des moments très Blondie aussi. Vous en avez parlé tout à l’heure ?

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Des happening, il y en a eu beaucoup. Blondie, du Blondie blog, voilà ce qui était bien. Est ce qui est toujours bien parce que c’est toujours le cas dans ce club, c’est que des DJ, la plupart étant les artistes, sont des chanteurs et des idées, des chanteurs très connus. Venez ici pour rien alors que je ne veux pas citer le nom de la marque.

01:23:04:15 – 01:23:25:13

Mais avant, vous avez pris un énorme cachet pour une soirée. Et après, ils passaient ici. J’en ai joué pendant 3 h. Est ce que j’ai déjà joué ici ? Jamais. Est ce qu’il est déjà venu ? Non. J’ai croisé C’est assez intéressant. Voilà, voilà. Voilà une fois. Voilà une part de la musique. On parle pas de Deezer qui est venu ici, apparemment.

01:23:25:23 – 01:23:42:00

Moi, j’avais retenu que non, on n’en aura pas mais je repars dans mon quartier en parlant à Cannes de John Lennon, qui a chanté et il s’était électrocuté avec le micro. Il y avait un micro qui était branché. Je ne sais pas comment et je me rappelle qui mettait sa veste et qui mettait son micro dans sa veste pour pas se prendre de jouer.

01:23:42:03 – 01:24:06:20

C’était un moment assez recommença. C’est dingue, mais bon, soyez à l’instant, tu me disais tout à l’heure que pour toi, le Baron, c’est vraiment le lieu de naissance de Boko Haram. Pourquoi pas ? Non, mais parce que non. Non, mais c’est vrai, ça remonte au jour ou quand il disait en bas qu’il y a des gens qui l’ont mal pris, qui va radicaliser non plus les connaisseurs et radicaliser beaucoup d’un endroit.

01:24:07:10 – 01:24:35:12

On prenait encore bien les gens à gens Matthias C’est quoi un des morceaux que tu as vu passer au Baron et suivre à la lettre ? J’ai fait ouais. Ouais, je suis faite. Merci Matthias. Merci beaucoup Alain. Philippe, c’était un grand tube difficile et je. Ce pas inventé un petit tube, un petites mains et les pieds. Il y a Marc de Santos qui voudrait te poser une question.

01:24:35:12 – 01:24:56:14

Je suis là au premier degré. Car Marco de Santo se veut des informations à vous me casser les couilles pour me casser les couilles Philippe. Ah oui, voilà, il faut jamais les pourquoi, jamais les mettre côte à côte. Vous êtes un atteint atteint. Questions au premier degré. Posons des questions au premier Philippe C’est quoi ? C’est quoi ton mercenaire ?

01:24:56:18 – 01:25:16:23

C’est quoi ton meilleur souvenir ? Si on a dit moi une bonne musique, j’aimerais bien. Quand Greg Boost jouait de John Lee, Hooker, vers 2 h du matin, il mettait un morceau qui s’appelait Whisky and We Mode et j’ai toujours trouvé ça incroyable. Dans les années au troisième millénaire, que un DJ de Last DJ, pour moi, c’était le dernier DJ Greg Boust.

01:25:17:24 – 01:25:39:07

Il a. Il a réussi à remettre John Lee Hooker en phase avec l’époque et rien que ça. C’est admirable. Bravo à eux. Il a eu sa page, ses pages, mes disques et moi dans Rock n Folk pour presque. Oui, j’aime bien la pop Ah ben voilà, ça c’est des questions. Ça, c’est des révolutions, ça vient de vrai. Est ce que je peux poser une question au premier degré à l’événement ?

01:25:39:13 – 01:26:04:08

C’est même un même deuxième degré. C’est une question au premier degré, vraiment évasive. Greg Est ce que ça va te manquer Salopard ? Ben ouais, ouais, ça va manquer, ça va manquer. Ben oui, c’est un peu ta vie comme ici, mais c’est si vague. Moi, je dis toujours que ici, je pense que j’ai perdu au moins cinq ou six années de ma vie pour demain.

01:26:04:08 – 01:26:28:18

Pas parce que pendant cinq ans quand même, j’y ai joué cinq jours par semaine. Mais si c’était à refaire, je le referais, bien sûr. Bien sûr. Parce que c’est là que j’ai. Et c’est là que j’ai pu m’épanouir. Parce qu’avant, je me faisais un peu chier Attention, je parle de DJ. Moi, je m’éclater dans les restaurants, de mes potes, etc Mais c’est vraiment là que je me suis éclaté et que j’ai pu avoir la chance d’être libre, d’être libre.

01:26:28:18 – 01:26:52:03

La liberté, ça n’a pas de prix, quoi. Est ce que tu veux nous dire ce qu’on te dit ? On est là pour le deep, on va écouter un oui, on va faire une pause musicale. Et quand on est un des choix que tu nous apprend, mais tu aimes aussi la bière. Je veux chanter moi. OK, ok. Alors, dans une question au premier degré, pour Nicolas le magazine, ça c’est bon.

01:26:52:04 – 01:27:08:21

Est ce que quand il y a d’autres gens qui sont déguisés et jaloux, personne peut se déguiser aussi bien que moi donc ? Parce qu’il y a des gens déguisés qui arrivent ? Parce qu’il y a une compèt ? Et s’il y a une battle de gens déguisés ? T’as vu comment ils ont pour leur déguisement comparé au clash ? Déguisements ? Ouais, c’est pas super premier degré, ce n’est pas évident.

01:27:09:15 – 01:27:30:10

A l’inverse, premier degré, Arielle admet Bon souvenir au Baron quand un jour j’avais fait un match de boxe avec Aurélien avec un en été. Et toi, tu étais mon entraîneur, raconte gauche. Tu te rappelles à Cannes au Baron, ce match de boxe ? Ah ouais, très très beau. Vous l’avez fait un peu à la main dans The Moon, j’avais mis des pastilles de sang dans ma bouche en faisant vraiment croire que je m’étais fait arrêter la joie.

01:27:30:10 – 01:27:45:23

Des gens ont eu un peu peur. C’était un peu violent. Je me suis éclaté dans les tables et du verre cassé et je me rappelle que tu as animé ce match de boxe. Absolument C’était à Cannes et à Cannes. Ce qui est à Cannes reste à Cannes. Oui, la pierre est sortie de prison. Le Barça était en premier lieu.

01:27:46:02 – 01:28:02:06

C’est vrai, j’ai été accueilli par par Greg Boust et par Eddie Maghraoui. Qu’est ce que tu avais fait pour aller en taule avant de faire un sacré truc ? Il est resté douze ans. Il a fait comme Beigbeder, il avait pris la cocaïne sur une voiture à la sortie du Baron. J’avais un truc de truc dégueulasse dont je n’ai aucun souvenir.

01:28:02:14 – 01:28:24:05

Si vous êtes les parents du fugueur Pierre Sinofsky, sachez qu’il est là ici. Encore, pendant au moins une demi heure. Vous pouvez arrêter de rectifier. Grégoire Tu peux nous dire ce qu’on va écouter maintenant ? Je vais te le dire juste avant, je fais mon. Je dis juste que continue autour de moi. Mais le baron, c’est plein de DJ résidents qui sont arrivés et en profitent cette histoire.

01:28:24:20 – 01:28:52:06

Cette histoire, c’est au moins une vingtaine de résidents et une porte en smoking. Le morceau, c’est oui, il est beau, jeune, il est très très beau. Ah ouais, pas Sébastien. Fort bien, vient pas. Pas partisan du oui, je sais, mais il reviendra. T’inquiète pas à regarder. Voilà. L’élégance même, voilà. Ah là, là même là, le nœud papillon. Bien comme AK.

01:28:52:06 – 01:30:43:13

Je suis désolé de t’avoir cassé la gueule. On se retrouve après, c’est juste pour te faire venir vite fait les dégâts. Je suis tellement désolé. Qu’est ce qu’on écoute là maintenant ? On écoute Ten dehors. Walt s’est laissé choir et on se retrouve alors au premier degré. Rejoignez nous pour regarder le baron tenir. Point comme à chaque fois la parole être la pointe la patte sa patte passe par la patte et la tête La vie prend la forme d’un Jackson à sa façon.

01:30:44:09 – 01:31:13:10

C’était autour de sa mère, Joubert, singeant celle ci. Le soir, on applaudit tout le monde pour les dix ans du baron après sa réélection. Voilà une sélection incroyable, une sélection barbelée. C’était parfait. Je rappelle donc que nous faisons une émission pour les dix ans du Baron avec moi. Ariel Wizman et Pépito sont tous à mes côtés. Nous avons là, autour de cette table, Greg Bost, Nicolas Ullmann, Pierre Haski, Philippe Manœuvre et Mouloud Achour.

01:31:13:14 – 01:31:37:01

On applaudit tout ça, s’il vous plaît. Allez y. Ils sont tous là. On est contents, on est contents. Voilà. Alors il va faire un hommage à Bach Ah oui, et bravo ! Et voici la vie. Et voici la vie, la vie, la la belle vie qui coule dans nos veines. C’était l’intro Nicolas Ullmann meurt d’envie de chanter quelque chose.

01:31:37:01 – 01:31:53:24

Alors oui, en passant ma nuit, en passant la nuit. Non, on parle encore un peu, on parle encore un peu. L’autre a sûrement des petits trucs encore à nous dire. Il est monté un projet, ça adore les. Oui, je voulais te faire une déclaration d’amour. Voilà une déclaration d’amour. Marco, les deux se tiennent la main. Ça, c’est hyper degré.

01:31:53:24 – 01:32:15:14

Premier degré, premier parce que j’ai beaucoup d’amour pour toi. Oui, j’ai beaucoup d’amour pour la personne qui était venu. Ouais, enfin, pas devenu vieux comme garde, la pêche reste comme ça. Je vais rester moi même pour ne lâche rien. Thierry ne représente rien qu’un mec hyper terre fait tout connaître d’un univers reste un jeune, un mec. super-Terres sont tous derrière toi.

01:32:15:14 – 01:32:36:00

Referaient qui ? Le père terre le terre, pas la terre et reste comme t’es bientôt en guerre avec toi. Tu y es à la rue derrière toi. T’es plus ghetto que lui, non ? Non, mais sans blaguer, Marko a déjà fait plein de trucs géniaux. Tu vas en faire plein d’autres. Nous, on est là on est derrière toi. Tout le ghetto est avec toi, tout le monde.

01:32:36:00 – 01:33:00:01

Et je vais te dire man, tu me demandes de tuer pour toi. Je te tue pour te tuer en applaudissant alors que voilà, voilà Rocket. Et maintenant, je peux le dire, je suis jamais sorti sans mon âge. Je vous le montre pas. Mais je peux vous dire que si quelqu’un fait chier mon poto, sans toi, je me rappelle avec toi quelqu’un qu’il avait fait chier au Trianon et je me rappelle que tu avais voulu couper la tête de ces personnes.

01:33:00:01 – 01:33:20:03

Ouais, ouais, ouais, voilà ce que je peux dire. Qu’est ce que je crois que l’État islamique a tout inventé par Adam ? On est né quelque barbus là, autour de cette finit très bien. Philippe, tu es un peu notre doyen ici. Jetable ? Oui, voilà. Et toi, tu es pas mal sorti, j’imagine à une époque. Toi, tu aimer ? Non, il.

01:33:20:06 – 01:33:38:14

Mais une question super. Ben laissez le ça. Question Est ce que toi c’est la première fois que je fais en pensant à ta plus ? Parce que ça te rappelait justement une époque ou la nuit était merdique ? Est ce qu’on en dit long ? Mais c’est clair que quand on sort depuis, on téléphone dans cinq minutes. Tu n’as pas qui, quoi quand tu vas aussi ?

01:33:38:14 – 01:34:00:02

Alors à Paris, il y a des mots et des noms de boîte qui sont restés, comme le Palace, les Bains-Douches et le Baron s’inscrit dans cette longue tradition de la nuit nocturne parisienne à l’endroit de folie. Un endroit en dehors du monde, un endroit ou on peut venir n’importe quand. Et on sait qu’on va trouver des amis, des casseurs, on s’en s’enlise.

01:34:00:02 – 01:34:19:04

Pourquoi ? En fait, on n’a malheureusement pas de nom, on s’ennuie pas. J’ai vu Ariel Wizman faire des DJ set entièrement à base de prises. Il nous a fait rêver ce mec là. Bravo à lui aussi, celui Narayen, le DJ, le bar à la mer. On peut faire parler notre président. Moi, quand j’ai commencé à venir ici, j’ai fait une résidence avec lui.

01:34:19:04 – 01:34:38:21

Tous les quinze jours et c’est grâce à lui. Moi, j’avais du mal à mixer ici. Il a juste dit à Lionel On veut une résidence. Il est revenu me voir deux minutes après Même pas bourré. On l’avait, on l’avait pour. Mais voilà, ça se passe pas ça. Dans les endroits géniaux qu’on jouait de temps en temps, on prenait le micro, on avait rien à dire, mais on mixé pas très bien.

01:34:39:14 – 01:35:06:13

Mais est ce que ça a rappelé ces boîtes comme la syphilis ? Vraiment, les boîtes que tu me, parisiens, le chlamydia, le tiers et dans le dernier tiers d’entre elles, le je me souviens du premier club à participer à la finale. Il a été génial, le ciel a super bien. Je suis allé au chlamydia, c’était fou. Mais ecoute, bercée de cet hommage à tous les deux.

01:35:06:18 – 01:35:25:04

Parce que là, franchement, Marco Simone est des très bons souvenirs qu’on avait ensemble, mais qui allait faire parler de nous deux, à part nous deux. Finalement, c’est Rohff qui a consacré une chanson de Marco de Santa Clara. Oui, oui, oui, oui, Rohff. Et d’ailleurs, Booba la clashé là dessus. Et à moi, c’est mon Marco je suis à Miami.

01:35:25:13 – 01:35:49:13

Moi, je peux en parler de vous deux. Je vais en parler de vos deux passions. Mais j’ai un invité surprise. Alors allez Greg président, en attendant et Greg, vas y je te dis, je peux en parler de vous dire Marco, parce que vous avez été quasiment dans les premiers à faire des dédicaces en duo qui était féérique. C’est vrai, là, mais c’est vrai avec surtout la le black out, on a presque 115.

01:35:50:12 – 01:36:09:14

Alors attention, j’ai pas du black out. Vous faisiez un quart d’heure de musique dans le noir et il se passait beaucoup de choses à ce moment là. Ça veut dire que si on arrêtait les gens et on donnait la sensation. Je vous rappelle d’une soirée effectivement, ou ça a parlé pendant 1 h et demie. Et surtout, il y a quelqu’un de pompette là.

01:36:09:14 – 01:36:28:05

Ouais, ouais, ouais. Il y a du quoi. Il y a une tempête de costume Nicolas Ullmann Oui, tu vois. Par exemple, quand Philippe Manœuvre est la Nouvelle Star, est ce que tu pourrais juger le costume ? Je pourrais très bien être un arbitre de costume. Ah oui, vous avez dans les costumes, alors nous avons un jeune homme devant nous qui sera là un peu pour une sorte de gourou.

01:36:28:11 – 01:36:53:07

Je tiens une secte avec des lunettes de X-Man. Je suis aveugle, mais j’ai mes lunettes qui me rendent la vue. Là, ça arrive, mais c’est un mélange de superhéros et de gourou. La barbe, les cheveux. Il a un petit côté la la politique médiévale que j’aime la jalousie. C’est mignon de se demander comment je m’habille. Attention à ce futur.

01:36:53:15 – 01:37:14:01

Raconter votre meilleur souvenir ici, c’est quoi franchement ? Dans mon ancien gardien Robert Nicolas Limal, tu ne peux pas faire comme si Pierre s’en offusquer n’était pas à côté de toi. Je ne vois pas Parce que là bas, on parle du style de Pierre. Hier, quand a répondu le maire que tout le monde est tombé, ça verrait tout le monde.

01:37:14:09 – 01:37:35:10

Le costume que tu petites chemise vichy, hein ? J’ai fait de mon mieux. Je me suis déjà fait la différence. Si tu avais besoin de l’évolution, c’est laver les cheveux, c’est couper les cheveux. Voilà je ne sais pas pourquoi. Et non, mais oui, j’ai des souvenirs du Baron, j’en ai plein. J’ai des souvenirs autour de cette barre de Bolden numéro cinq.

01:37:36:19 – 01:37:56:19

Je compte des souvenirs. J’ai compté. C’est dans le désormais récent. J’ai souvenir de voir Vikash Dhorasoo très très souvent, abandonner ses hémérocalles avec un truc qui aurait ensuite jonglé avec un truc. Je ne sais plus quoi faire. J’en ai plein et j’ai du mal à me les remémorer. Est ce que ça vient d’un de ces souvenirs ? Vous savez votre question à l’école ?

01:37:56:24 – 01:38:20:24

Vous vous souvenez ? Normalement, ce qui se passe au bar, au resto bar. C’est ça ? Le truc, c’est que ça a toujours été la devise descendre. Philippe Il y a une question que je l’entends, c’est pourquoi tu mets jamais de boucles d’oreilles C’est à cause de Boko Haram et savent pas. Bon, ok, alors maintenant on va faire non, pas tout de suite.

01:38:21:11 – 01:38:39:05

On va écouter trois chansons sélectionnées, trois des extraits, on fait des extraits. Et pourquoi c’est toi qui a voulu faire des extraits de séries ? Parce que si vous voulez vraiment écouter les dix pour les dix ans du Baron, on y est jusqu’à 3 h du mat. Alors on commence par le premier test sur iTunes. Qu’est ce qu’on va écouter ?

01:38:39:05 – 01:39:06:00

Tu seras ou pas là ? J’ai pas la vie devant les yeux. Il y a dans ta boite. Alors j’ai un système home. Et puis après leur fils est déjà joué ici. Après Félix Liszt Omnia ok. Et pour finir ? Qu’est ce qu’on attend pour foutre le feu ? C’est bien NT1, c’est super. Ça, ça résume. On va dire ça. Oui, pour être heureux, c’est bien.

01:39:06:01 – 01:39:21:09

Mais voilà, ce sont des morceaux là. Pour le coup, ce sont vraiment des morceaux emblématiques. Ou les gens se sont retrouvés dans tous les sens pour se retrouver sur tous ces morceaux là. Mais quand vous êtes là, on écoute un peu LCD, alors bien au chaud.

01:39:27:06 – 01:40:28:19

Du Web celui là. Petite dédicace à Lionel du du mais également du café. Tables rondes en même temps, ce même demain sera le prochain. Voilà, c’est phœnix. Il y a toujours un lien de causalité. C’est des gens qui ont été là depuis le début, qui nous ont suivis. Il n’en est rien. Là, c’est un peu de rock, ça ne fait pas de mal.

01:40:32:00 – 01:41:14:07

C’est vraiment des morceaux ou des gens que j’aime. Les souvenirs sont intacts. Les gens étaient comme des fous sans lendemain, jusqu’à ces lieux de la terre. On est vraiment un peu dans le tunnel avant de sortir du mur, mais jamais les toilettes ni les systèmes ni même week end, les autres ne menant vers un faute. Je ne me souvenais même qu’on nous donne maintenant le top à l’instant même.

01:41:14:07 – 01:41:49:21

Il y a peu de glace petit et de chlore dans les oreilles aux fenêtres. La LED comme blanc, mais c’est dommage, c’est rien on n’avait rien fait de que l’on n’a pas les moyens de changement, mais le prochain, c’est parce qu’on est. On n’arrête pas de parler du passé. Celui là est pas si vieux, c’est les patchs Un gars boys time.

01:41:50:04 – 01:43:05:20

Mais bon, là, c’est sûr qu’on va pas l’écouter en entier durant quinze minutes le patin à glace n’aura pas changé un patch, mais pas 24. Il a tué un gars boy, c’est du jambon du allez le rat de nuit. Ouais ouais, c’était quoi ce sont. C’est tout le mode nuit. C’est quoi ces impressions sur la table de ma nuit ?

01:43:05:20 – 01:43:32:17

Le menu, je lui dis c’est quand on va a lancé Toi, moi, tu fais le malin, il faut faire. Tu prends un papier au hasard. OK, voilà le blanc Qu’est ce qui a écrit dessus ? Degré première ? Non, il j’en ai marre de cette question. C’est quoi ton meilleur souvenir ? Non, on va dire un autre à. Alors ta rencontre la plus surprenante ici ?

01:43:32:22 – 01:43:50:15

Oui, je me suis rencontré. Moi, tu t’es retrouvé, je me suis retrouvé. J’ai découvert, enfin découvert qui était ma vie était là. Philippe Manœuvre Tu as peut être tiré un papier noir. Il a peut être chanté. Je te préviens donc je ne laisserai pas le papier blanc. Ah, c’est une question encore dans. Même si après quatre est le chanteur des Rolling Stones.

01:43:50:19 – 01:44:17:19

C’est quoi ta rencontre la plus surprenante ? On recommence. Et question a été rédigée originalement. C’est noir. Est ce que c’est noir ? Et blanc aussi ? Il faut que tu réponds dans Raggamuffin. Ton pire souvenir ? Ça y est. Et en venant en fait, j’en ai pas eu. Non, franchement, non, non. Le chanteur des Rolling Stones ? Bien que oui. Franchement, que des bons souvenirs au Brésil.

01:44:18:01 – 01:44:37:07

Mais non, je n’ai pas une mauvaise idée que les nanas découvertes avaient une prostate le long, mais rien lâcher. Moi, j’ai été que des bons souvenirs au Baron ça tombe bien, mais il y a vraiment quand même difficile. Tu te prends un râteau et un petit je me avec de bons souvenirs, dit Basic alors que ça commençait à vraiment beaucoup marcher.

01:44:37:08 – 01:44:57:05

Il fallait quelqu’un qui soit peu plus rigoureux que nous à la porte pour faire la sécurité. Il y avait une petite lesbienne qui se la péter, qui travaillait au Pulp, sa vie. Alors tu ne dis pas du mal de Sabine Qu’est ce que je veux ? Non, je parle d’un souvenir de merde ou pas du mal de histoire. Toi, tu rentres avec toi qui a la porte des boules arc.

01:44:57:05 – 01:45:10:19

Et toi, tu es David Ginola. T’as pas tout à peu pas dire ça. À l’époque, je dis ce que je veux. Je ne suis pas arrivé à se souvenir que tu étais déjà homophobe à l’époque. C’était le seul argument à boire. Est ce que je vais parler sa sexualité ? Ce n’est pas parce que le bruit que crée une petite salle.

01:45:10:20 – 01:45:32:07

Vraiment, j’ai déjà sucé d’habitants, il n’y a rien à voir. Vraiment, il y aura cool. Greg Il y a quand même dire il y a. Il doit y avoir un mauvais souvenir de traumatisme. Oui, parlons des traumatismes intolérants. Front national n’est pas Charlie. Est ce que c’était Harvey ? Devenir d’avoir oublié de céder Jean-Marie Le Pen récemment ? Jean-Marie Le Pen Non, je pense que oui, c’est vrai.

01:45:32:12 – 01:46:08:05

Mais ça n’est pas très Charlie. C’est un métier, c’est très compliqué. De dire avec des souvenirs que les pires souvenirs se sont toujours transformés en en méga souvenirs au jour le jour. Non, mais c’est vrai, ça. Genre coupure d’électricité pendant 1 h avec les gens qui hurlent. Mais mais après ? Si je peux être parce que je ne suis pas, je pense que le pire souvenir pour tout le monde, c’est quand André arrive dans cet endroit et que d’un seul coup, les DJ flippent qui viennent et qui leur disent change moi cette musique de merde C’était le pire souvenir des années.

01:46:08:06 – 01:46:26:12

Ils avaient envie d’écouter les Spice. Mais bon, il y en a un, mais il a toujours eu une idée très précise et franchement, c’était moi. C’est pas de la flagornerie, mais il a toujours su ce qu’était son club. Donc je parle d’un souvenir de DJ parce que pour moi, de DJ qui commençait un peu associé dessus, parce qu’il se disait putain là, il va se casser les couilles.

01:46:26:23 – 01:46:44:17

Moi, je me rappelle du pire souvenir de quelqu’un, je pense. Je parle pour lui. Je pense que je peux me permettre mes écrits. C’est un mec un jour qui chantait au karaoké. C’est qui ? Et François Bayrou, lui ? La paix, c’était un chanteur. On faisait un karaoké et un moment, le mec, il s’en porte plutôt bien. Sur une chanson des Doors like d’ailleurs.

01:46:45:01 – 01:47:00:20

Et je dis à tout le monde Il faut le feu, il faut le feu, il faut l’arrêter, il faut éteindre le feu. J’ai pris l’extincteur du baron, je l’ai vidé sur toute la piste. La soirée était à son climax. J’ai dû virer tout le monde en une seconde. Dans la rue, il y a une fille qui a voulu me faire un procès parce qu’elle avait reçu de la fumée dans l’œil.

01:47:01:11 – 01:47:20:00

Et c’était tellement marrant que même Lionel, je le suis encore reconnaissant. Il m’a pardonné, m’a fait Ecoute, mec est un enfoiré, mais c’était tellement marrant que je te pardonne. Donc je parle pour ce mec qui a été presque asphyxié. On a quand même vidé un extincteur de pompier dans la salle. Les murs étaient blancs, il y avait de la poudre partout.

01:47:20:00 – 01:47:46:05

J’ai osé faire ça et ça reste le pire souvenir de ce mec. Mais c’est vrai que pour moi, j’avoue, c’était un de mes meilleurs souvenirs. Et là, tu viens de régaler Marco qui adore les anecdotes. Je vous propose un truc là regarde, on est combien on est C’est vrai quand même. Bien qu’on pourrait faire un spectacle de Vieilles Canailles en France chaque printemps, quand tu seras à Cannes via une chanson une chanson de Greg, chanson à une sauce chanson.

01:47:46:17 – 01:48:10:08

Tiens ! Et Nicolas, parce que tu sais chanter ? Enfin, il paraît. Moi, j’ai envie de faire passer un sapin dans le Gabon. C’est quoi les gens ici ? Il l’a pris à Nicolas, a attiré l’attention. Ça me fait rire. Voilà Alors choisir la chanson merde, vous avez des choix un petit peu varié. Putain du Julien Clerc, du Félix, du je lui ai dit C’est joli, j’aime bien.

01:48:10:08 – 01:48:29:18

Je disais pas ça, je le dis, on va y aller alors que je t’aime. Du ragga de ragga et quoi ? Pourquoi ça va ? Et à cet endroit, on chante Que je t’aime de Johnny. Je ne suis pas un DJ, il y en a qu’une. Sinon, je vais pas chanter Eddy Mitchell. Ben ouais. Il ne rentre pas ce soir.

01:48:29:21 – 01:48:56:19

Il ne rentre pas les paroles et ne rentre pas ce soir. Tu l’aimes ou pas ? Michel Oui, c’est toute sa vie. Elle n’a plus d’espoir et plus d’espoir. Sinatra, Sinatra, Sinatra, on est en même temps Sinatra. Ça fait partie un peu du paysage Sinatra, il y a Rolling Stones, Maintenant, tu vas New York, New York. D’accord. Ce n’est pas un truc bien Sinatra.

01:48:56:19 – 01:49:53:17

Je ne sais pas pourquoi les gens étaient là. C’est un vrai mystère. Pour aller, on essaie Sinatra, il n’y a pas, il n’y a pas beaucoup de joie. Allez, on y va Moi, je chante super bien tous ensemble. Le stade bye bye. Bye bye Guantanamo à Washington et pas l’inverse. Né à New York, le 16 juin et alors que Red Star avait le goût de gagner à New York, Wayne Blake et de très buzz.

01:49:54:23 – 01:50:31:20

Je n’ai pas vraiment le village au fond de la vallée. Bravo pour applaudir, mais on peut applaudir la Russie. Le berceau de la foi Eh bien, je remercie les amis d’écouter un autre morceau de Greg et moi le quitter. Je remercie autant l’autre Philippe, Pierre et Nicod de la c’est d’être venus me soutenir. Moi, je me rappelle une émission qu’on a fait avec Greg un jour un prince aux barreaux, ça nous amenait dans les beaux endroits.

01:50:31:20 – 01:50:52:00

On était à Caracas avec Greg Nous avons fait une émission de radio avec des à venir. Un souvenir marquant avec récupéré. C’est vrai, on a fait le on applaudit Molo, on applaudit Greg Boust. On a applaudi Philippe Manœuvre. Pierre Mankowski. Nicolas Ullmann. Mouloud Le mot de la fin ? Ça t’appartient là. Pour le coup, tu vas nous dire un petit truc ?

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Dis nous un truc degré premier de l’amour et que ça devrait être dino, que c’est beau quand même pour moi comme celui ci de durer encore dix ans. Et un endroit ou l’amour est né. Parce que chaque chacun disiez peut être que c’était la dernière qui a rencontré son mari. Il y en a ou pas, ou sa femme que c’est une femme qui pense alors l’anecdote, l’anecdote, juste après l’anecdote, c’est que Lionel et moi, au tout début, ça faisait deux mois, on était ensemble.

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On s’est dit tous les deux, c’est sans club. Mais je pensais déjà que c’était un événement. On s’est dit qu’on ferait trois ans ou sept ans. Ici, c’était des chiffres charnières et ça fait dix ans. Donc c’est pas mais le mariage gay existait déjà. Et malheureusement, on aurait dit la chanson de Patrick Bruel qui irait très bien avec la situation de ce soir.

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Et c’est un peu gênant quand même parce que ce n’était pas d’hier. Rendez vous dans dix ans. Et pourtant, c’est là, à Genève, avec Johnny, le coach du TIFF. Non mais il vaudrait mieux mettre Souchon. J’ai dix ans, je me demande moins bien. Je n’ai pas mis quelqu’un. Je ne sais pas, mais j’ai dix ans pour un peu trop fatigué pour clôturer la première écoute.

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Sing Sing Sing. Ouais, c’est ça un Marc. Ça, c’est un problème à toi même. Dans ces concerts, celui là, je pourrais avoir laissé la parole pendant cinq mois. Mais. Merci quand même pour la fin. C’est pas la fin, mais c’est l’emblème du baron à mes yeux. Voilà, tout simplement merci à tous. Sing Sing de Benny Goodman. Merci Greg.

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Oui, merci à vous tous. Et après On rejoint donc les gens Oui, oui. Après, on a toute l’équipe du Baron qui a travaillé ici pendant dix ans. Il y aura Lionel Bobo et Sarah Weiss. Wach l’Ours Duo Et là, tous les fumiers qui sont là bas, on se retrouve après la fin S’il vous plaît. Applaudissements pour les dix ans du baron du temps, on va terminer en beauté.

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On va terminer avec ceux qui ont qui vivent ici depuis dix ans parce que c’est à peu près le cas. On peut dire que vous êtes ceux qui sont là depuis un peu plus, un peu plus longtemps que d’habitude. Lionel Là Lionel, déjà. Première question du concert. Est ce qu’on entend le micro ? Lionel. Oui, on entend très bien.

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Lionel. Est ce que tu peux me donner déjà la raison ? Pour laquelle André n’est pas là ? Ha ha ha ha ha ha ! Ha ha ! Question piège ? C’est la vraie question. On est d’accord, c’est une bonne question. On en Pourquoi André n’est pas là ? Je ne sais pas. Mais est ce que quelqu’un sait ou est train ? On a oublié, on a oublié de l’inviter peut être.

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T’es sûr ? Non, non. A mon avis, il est à l’étranger. Alors, est ce que tu peux nous raconter très rapidement comment vous vous êtes retrouvés ? Tu te souviens pas comment tu t’es retrouvé ? Ah ah, le voilà ! Arrière arrière s’en souvient. Ouin, ouin. Ouin, ouin. Ce qui est à poser des questions au premier degré des premiers degrés commence à poser des questions.

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D’accord, il va y avoir son mea culpa. Commencer un truc genre comment retrouver tout ça ? C’est intéressant, non ? Ah ouais ? Ouais, ouais, ouais. l’A bien alors défini là. Comment tu as eu ce plan ? Parce que je suis un très bon imprimeur. Tout le monde le savait. Ouais, ouais. On sait que tu as lancé que tu faisais de l’impression.

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Mais comment tu as eu ce plan commando ? Après les Johnson, on cherchait une petite maison ? Oui, tout à fait. On a fait deux ou trois en une soirée itinérante de partout à Paris pour s’amuser. Et on avait besoin de notre QG. Et un jour ? Moi, dans mon terrazzo, on m’a dit que le baron était fermé depuis des années et que parce que c’était fermé avant, on vous le reprenait.

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Ça faisait deux ans, c’était fermé. Et voilà. Donc j’en ai parlé à André. Il s’est dit quelque chose le baron. Il paraît que c’est à reprendre et que c’est sympa. Il m’a dit Ah bah oui, le baron y était justement à l’époque du vrai Baron. Donc vous connaissez l’endroit et c’est vrai que c’est vrai qu’il y avait les plus belles gonzesses, les plus belles, je sais pas, mais c’était quand même aujourd’hui, c’étaient des gonzesses.

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Facile, je crois. Et comment a fait pour l’avoir alors mis un peu de pression ? Non, pas de niveau de violence, non, comme d’habitude. Tout le monde sait que quand on me regarde, quand tu veux qu’on la ferme plus c’est comme le porteur. Là, il est motivé et passe facilement à l’acte. Et donc on est rentré dedans. Tu t’es dit qu’il y avait un truc à faire comme ouais, c’était c’était une époque ou on n’avait pas peur de bouger dans le huitième.

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Le Palais de Tokyo était aussi ouvert depuis pas longtemps. Donc voilà, il y avait une petite émulation. Nous, on voulait notre petite maison et c’était parfait. C’était l’endroit ou on faisait la porte, le bar, le DJ. Tout doucement, on a créé, mais tu t’imagines et pas que ça pouvait durer dix ans. Non, pas au début, c’est vrai. Après, tu diras Catherine est avec nos attentes là bas.

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J’adore Catherine et le Catherine, elle adore. On va passer à Boris et Agnès, qui se connaissent bien et qui sont là depuis des ont leur territoire un peu plus part là bas, autour d’un bar. Toi Boris et à toi, t’es arrivée quasiment au début aussi, presque tout. Au début, on entend pas Boris. Alors oui, voilà, Gérard vient de mourir les deux premières semaines.

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Comment ? J’ai raté les deux premières semaines du bar. Les deux premières semaines, je disais que c’est là ou tout s’est passé quand même, non ? Non, non, c’est pas vrai. Les deux premières semaines, c’est là que c’était ma remarque. C’est toi qu’on a raté. Ouais, ouais, Et tu t’imagines pas rester autant de temps, j’imagine dans ce trou ? Non, on se trouve pas trop sympa.

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Comme Jean-Baptiste a envie de porter le micro à ta bouche et à aucun problème, je ne suis pas habitué. Savez, c’est le moment, c’est l’homme de l’ombre. C’est le moment ou jamais. Tu vas donc ? Le déguisement de ce soir, c’était le changement, donc le changement pour vous, c’est ce que vous vous êtes foutu sur la tronche. La ça et c’est quoi ?

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Est ce qu’on va arrêter de se foutre dans la tronche ? Sinon par la suite, on verra. Mais en fait, le changement pour vous, c’est ça ? Pour nous, c’est pas le changement, c’est nous l’avons disait on est là, on est là depuis le début. On a voulu faire un peu voilà les hôtes du baron. On a parlé, bien d’accord.

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Ah oui, dit bien oui, à bien y mettre pas et mettre le bien. d’Anniviers revient bien. Ah oui, c’est Dany, je suis tanné de rouler, mais là, on soit bien à chez toi, à côté de Boris. Que je peux faire pour vous. Tout rien, tu vas emporter ce que je fais déjà. En même temps, il y a un copain qui s’est déguisé en quatre alors oui, mais Vincent, est ce que tu peux me dire des demandes ?

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Ça plaît ça ? Ça, ça vaut le coup. Voilà Vincent vieux. Voilà, voilà, on l’a rêvé assez toi. Voilà le bon pardon du chat Le fait de travailler au même endroit pendant dix ans, vous vous êtes jamais ennuyé Non, je pense qu’on a vécu dix ans totalement différente. On a vu passer plein de choses, plein de gens pleins d’univers.

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Et puis maintenant, on bosse en famille. Donc à un moment donné, je pense qu’on s’ennuie pas. Oui, il y a, il y a encore un bon morceau de la famille qui est là, quoi ? Oui, il y a encore plein de gens qui y habitent, mais aussi qu’elle a juste à côté de moi. Mais il est venu un petit peu après Abidjan.

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Moi, je suis arrivée juste après le première anniversaire. Pourquoi ? Juste après le premier anniversaire du bar ? Donc, ça, c’était mon anniversaire à huit ans et demi et c’était mon anniversaire. Merci Baba. Oui, c’était le début de l’ère Sarkozy. C’est exactement arrivé avec Sarkozy. Je suis un mec de droite. Un vent de fraîcheur est arrivé grâce à Sarkozy, mais en plus c’est lui qui a placé la villa.

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En fait, indirectement, je suis arrivé ici à cause de Mouloud, de Mouloud. Rappelons que Mouloud, c’est l’assistant de Sarko On vient de le voir encore. C’est à l’époque ou Mouloud a démarré les boulots de vie et moi qui bossait avant dans tous les évènements hip hop de Paris. On m’a appelé pour bosser pour les boulots de vie et du coup, mais c’était pareil à Paris, c’était pareil pareil mais en fait ça faisait bien de replacer les choses dans leur contexte.

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On a tout de suite accroché avec un peu toute l’équipe. Du coup, j’ai démarré au Baron avec Back, mais avant mon anniversaire, Mbock, elle a chanté ici. Non, on en a parlé, on est à l’heure. C’est vrai Elle a chanté, c’est Matthias qui l’accompagnait. Est ce que tu peux nous rejouer le morceau que tu jouais quand elle a chanté lors du match ?

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J’ai vécu Fumage Réel OS pour Dior, qui est en train de revenir La sorcière venait. Merci Matthias. Big Joe Comment tu explique Big JO ? Que c’est toujours des mecs comme toi qui font les villas ? Moi, je suis un passionné de sécurité. Ce n’est jamais évident. Est ce que la race est là pour toi ? Tu un passionné par les matières le plus important, je dis tu es même un passionné.

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Emma On en a parlé plein de fois. Oui, mais en fait, ce qui est marrant avec les années, c’est que je suis le seul à avoir perdu du poids. Quand je regarde tous les gens qui viennent là depuis dix ans, chacun a pris des kilos. J’ai perdu 30 kilos depuis dix ans. Ah ouais, ça c’est magnifique. La rédemption par le Baron.

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Mais bon sang, vous, vous achetez des sandwichs à 5 h du matin tous les soirs. Vraiment, avant de perdre du poids pour te dire à quel point on me fatigue dehors, on peut perdre si tu veux avoir fait. Si vraiment vous voulez vous faire casser la gueule par un mec bien, venez au barreau et je vous garantis. Vous lui prenez la tête trois minutes et vous défonce Mais je n’ai jamais eu à me battre.

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En huit ans et demi de banc. Ouais, enfin du regard car il y a loin, ça n’a jamais été chaud à un moment. Non, face aux anti, j’adore du bout du doigt, c’est du bout du bout de la moustache. Ouais, proposa de façon un peu ethnique, mais est ce que tu fumes la chicha J’ai fumé beaucoup de choses dans ma vie, mais ça n’a jamais été mon truc qui me fait trop peur.

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J’arrête cette interview et en la matière. Est ce que vous étiez là le soir ou Yorke a commencé à chanter avec toi ? Tu t’es aidé ? Et bien que le souvenir soit commun et qu’est ce que ça t’a fait toi par exemple ? Je sais pas. C’est une question comme une autre, mais moi, ce que j’ai trouvé génial, si je peux le dire, c’est qu’elle a chanté cette chanson.

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Ce n’était pas du tout. Sa tonalité n’aurait pas été bien. On aurait dit que ça aurait été très mauvais. Est ce qu’elle était ? Elle est venue vraiment comme ça par elle même. Ou est ce que vous avez été prévenue avant ? Non, par elle même. Et JO l’a laissé entrer dans ce débat. Quelle époque peut être ? Je ne sais pas comment je vais parfois, mais tous les clubs le font quoi ?

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Tu n’as pas fait comme jamais ? Lionel Oui. Ou est ce que tu penses que le baron t’a donné une bonne santé, une santé robuste et que du fait que tu as passé toute des nuits ici, que tu te sens un chacun de beaucoup plus fort Oui, parce que je crois en l’énergie des gens. Le partage comme l’un. N’empêche.

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En plus, ça me fait rire de tout le monde qui donne l’amour tout le temps. À Ça sert évidemment pas trop, va pas trop fumer, etc Mais mais toi, t’es assez sur toi, ça va nulle part. Oui, il n’y a pas de bonheur Catherine J’aimerais que tu donnes ton regard de femme sur le baron. Ah oui, s’il te plaît, bavard, s’il te plaît, raconte nous raconte un pub.

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Qu’est ce qu’être une femme ? C’est Ginette ici. De quoi ? Chez eux, il faut que je regarde de près j’ai perdu mon unité. Ici, j’adore. C’était le bal des années 30. Est ce que vous avez entendu cette confession tellement touchante ? Il y a dix ans, elle y a perdu sa virginité. J’étais enfant, j’ai envie poupon, bon, arrive quatrième, mais vraiment avec si tu veux que j’aime surtout pas, .9.

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Le baron se remplit on a un petit peu de mal à s’entendre. Oui, non, mais attends. Au contraire, au contraire. Mais c’est bon, la soirée commence maintenant. Il y a déjà pas mal de gens qui sont là et qui sont venus. La plupart sont lookés. On a Foca déguisés en faux Cannes, on a Arielle déguisée en Mouloud amoureux de Voila et Félicien.

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On va passer à toi. Peut être parce que il fallait des choses à dire. Felicia. On peut passer un mois ? Non, non, non, on va y arriver. On va y arriver. Alors toi ? Pour ceux qui ne le savent pas et qui ne savent toujours pas, toi, un moment à ta déposé quelque chose à l’entrée, tu vas déposer une sorte de robot, c’est ça ?

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Ben moi, je suis arrivé au Baron. Fans de musique, écouté des concerts et certains. Et je me suis alors proposé dans un bar et à l’entrée du Baron, une espèce de sas entre copains le néant, la nuit, le jour. Et dans cet endroit, j’ai entendu des choses indicibles. Il tombait dans la moquette. Et ça m’a fait peine ai parlé à Lionel et je lui ai dit Faudrait vraiment entendre ces choses, les partager, s’amuser avec ça.

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Et voilà, j’ai conçu le robot. Il est resté longtemps ici, en plus de trois ans non plus, tant il était là pendant huit ans. Le monde en parle, pas tout le temps, mais il s’est promené avec le Baron à Cannes, à Miami, à l’ouverture de l’hôtel Amour, pendant les Grandes Fiestas, à la grande époque de Lionel aussi, quand il avait pris l’ADN du pont Alexandre.

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Trois. Voilà. Et c’est vrai que j’ai rencontré plein de gens en plein visage, plein de fois on a parlé, on a échangé, mais c’est bien marrer. N’est ce pas Ariel je te balade donc en fait faire une contre interview interposée. En fait, d’autres questions, celle de Marco n’étaient pas vraiment les bonnes. Ouais, j’avais envie d’avoir ton regard de femme sur le baron.

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Le bien, oui, mais disons que on va dire que j’ai vu beaucoup, beaucoup, beaucoup de personnes c’est entendu. Elles se sont exprimées. Il y avait un back back is back. Et en fait, Oyongo Bak, lyonnais avec come back en tant que femme d’ami, gérant des dizaines et des dizaines de personnes sans sexe uniforme qui étaient là et qui s’amusaient et qui se donnaient le droit d’être ce qu’ils avaient envie d’être à ce moment là, sans aucune contrainte, avec la liberté que leur offrait le baron et la nuit.

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Donc c’était assez, assez croustillant. N’est pas un obstacle pour le baron ? Non, c’est plutôt un avantage. Même avec les cycles etc, ce n’est pas un problème, au contraire. Au contraire, il y a une certaine intemporalité ici, de façon, c’était la marque de fabrique. Oui, d’une part, au niveau de la musique qui reste ici c’est de plaire. Il revient et revient à avec son regard de femme sur le baron à bague.

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Ça va être difficile mais il faut espérer.

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Il est là bas quand il est là. Back back. Matthias vient nous raconter un peu Jean-Sébastien qui est interlude. En attendant à la musique de Bach, plus en plus fort, plus fort un rap un peu vague sur ta musique. Maintenant que ton capital s’est largement ou largement augmenté depuis que tu travailles ici, tu vas a commencé dès le début.

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Quasiment. En fait, c’est Lionel qui faisait la porte à la base. Quand je dis ça, il n’y avait personne, donc il était devant. Et il paraît qu’un soir, il a appelé parce qu’il était en galère, qu’il y avait un peu plus de monde. T’es venu ? Vous étiez deux et maintenant vous êtes 150. C’est un peu ça. C’est un peu ça.

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C’est un peu ça en fait. Moi, j’ai rencontré Lionel André. J’étais étudiant à la fac et à la fac. De quoi ? De sécu, fac, économie, fac. Mais en fait, ce qui s’est passé c’est que j’y avais rencontré. Et la première fois que je rencontre des gens bizarres. Yolaine à ce moment là, était au téléphone en train de envoyer des textos pendant l’entretien.

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Et André Je vois un mec qui arrive avec une bombe dans la poche avec plein de taches de peinture sur le pantalon, sur la veste. Et moi je suis arrivé à l’entretien en costume. Je ne savais pas ce que total normal. Toi, je sortais de mon patelin de Fursac. Et là, on se met à discuter. Et quand j’ai filmé l’entretien, j’ai dit Jamais de ma vie, je travaillerais que c’est fou.

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Jamais de ma vie je suis parti et j’ai des stagiaires. J’en parle, je parle à mon assez Fabrice dit J’ai rencontré, les mecs sont barjots. Il me dit comment ça explique l’entretien, mais on en rigole. Un soir, j’étais chez moi et tout est à 23 h 45. 0 h, il y a bien André ou Léo Chapuis qui m’appelle et me dire comment pourrais je fais ?

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Mais tu me raconte le mot couleur, qu’est ce que je me dis dans ma tête ? Je dis mais il est complètement barjo. Et là, il y a 20 ans, c’était un poulet. C’est vrai, je connaissais pas le mot poulet vachement changé. Changer ça et là, il y a vient. Vient on que ce soir ? Je dis mais on est bien le soir, il est 0 h et moi je découvre demain au poulet via mon chat.

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Quand on saura jamais mon poulet, c’est que se loger à Nanterre ou à Créteil, j’étais à la fac de Créteil, mais à ce moment là, j’arrivais tout et il y avait un petit communauté de gens. Il y avait Lionel André, Marco et tous les copains intimes de la bande quoi ? Au début, mais en fait, moi je connaissais personne, donc c’était ça un peu.

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La force, c’est que je connaissais personne. Vraiment personne. J’étais catapultée à une porte ou je connaissais personne. Mais là, on m’a dit Tu sais que le copain, en fait, j’ai écouté la chose bête et méchante, alors que je ne connaissais personne de ce milieu là. Donc, en fait, je refusais tout le monde, donc je menais quand même très loin.

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C’est ça, c’est ça. Mais aujourd’hui que t’es un grand homme d’affaires, quand même dans la sécurité. Est ce que tu ne regrette pas des débuts un peu artisanaux du métier ? Des tartes comme ça dans la gueule et jamais de tarte. C’est pour ça que le nez dans l’artisanat, de la tarte dans la gueule, je la mets, lui, de tarte.

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C’est pour ça que André, parfaitement quoi. Jamais Lucas n’en a jamais le mot. On est déjà avec une tape sur l’épaule, ça peut mener très loin de là. Mais en fait, c’est pour ça qu’ils ont fait appel à moi parce que j’avais du sang froid. On était sympa la pour que l’on discute avec les gens donc. Et en plus, nous, on voulait révolutionner la Sécu.

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On voulait créer un truc sympa, une Sécu cool. Mais en fait, on est à Québec le plus cool de la terre. Et donc, nous, en fait, on a identifié notre société de sécurité. Ah, c’est à ces mecs là ! C’est dire à André et Lionel. Donc, en fait, aujourd’hui, je dois tout à André et à Lionel. C’est grâce à eux qu’aujourd’hui on est 150 agents de sécurité.

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Et en tout cas, moi, je peux te dire un truc, c’est que je t’aime beaucoup. Moi, je te tais un sacré bon, t’es un sacré bon pote et un bon camarade. Et un bon poulet, un bon poulet. Franchement, pour du poulet, pas vraiment bien tourné. Merci beaucoup. On va passer le micro à un Stéphanie qui a sûrement des trucs à dire Ben moi, ça fait neuf ans que je suis là, c’est l’air de rien.

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Voilà, on a beaucoup joué ici, j’ai joué. Ouais, ouais, beaucoup deux ou trois fois par semaine. Vous vu pendant ? En terminant ? Non, je dis beaucoup. Oui, deux ou trois fois par semaine au début. Et non, ça fait neuf ans que je m’éclate vraiment. C’est pas de la langue de bois. Ça fait neuf ans que je m’éclate, que je joue tout ce qui me passe par l’esprit que que c’est mortel, que tu peux te permettre en tant que DJ ici, de faire à peu près ce que tu veux.

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Tu peux faire n’importe quoi aussi. Faut pas le faire trop longtemps non plus parce que le but. Mais pourtant, moi je trouve que t’as l’air vraiment en bonne santé. T’as une belle peau. Je peux te dire merci Ariane. Même le grain est hydraté, c’est juste un superbe mais très neutre. Moi je pense qu’on va arrêter parce que déjà voilà, voilà.

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Est ce que t’as un dernier mot à dire à Lionel ? Tu l’as ouvert maintenant tu peux la fermer. Masi je la ferme en disant que c’est le bordel et que c’est un joyeux bordel. Et c’est ce qu’on a toujours voulu faire. Eh bien, les amis, que la fête commence au nom d’un chien. On applaudit l’idée de jouer avec un anniversaire au Baron Catherine Baba pour être fidèle à l’image du lièvre.

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Je ne sais pas s’il y en a qui ont déjà été travaillés ici, mais c’est le bordel essayé de demander un emploi du temps, essayer de demander ce qui se passe et c’est demander vos fiches de paie et vous serez mal barré. Eh bien, pour les dix ans, pour être fidèle à ce bordel, c’est un coup de fil dans la veille en te disant est ton groupe, il pourra pas jouer.

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C’est trop compliqué de mettre une batterie et des guitares. Donc tu appelles Matthias et tu vois ce que tu veux avec lui ? On s’est appelé, on n’a pas le temps de te voir avant. Et s’il y en a qui veulent chanter des chansons, on a le droit de faire un petit karaoké de quinze 20 minutes en chantant les paroles qui sont sous ses yeux.

02:15:51:03 – 02:16:25:04

Et on va commencer avec Michel Delpech. Ça va tout le monde pour un flirt, la la, la la la la la la la la la la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la noire. Flirte avec toi. Je ferais ma porte quoi ? Pour un flirt avec toi, je serais prête à tout pour un simple rendez vous, pour un flirt avec toi.

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Boire un petit être un petit jour à deux bras dans la magnéto après des jours de débat, je pourrais se quitter et taper le thème des pour un flirt avec Guy. Avec toi, je serais assez prêt à parier tout l’été que je vais lancer pour toi pour un flirt avec toi, Tous mes amis sont là à compter sur moi pour flirter avec toi.

02:17:17:24 – 02:18:34:19

Tous mes amis sont là puisque pour un flirt avec trois je pourrais être amoureux de qualité. Un peu pour un flirt. OK avec toi je ferais des folies pour arriver. Doc pour les prochains flirt avec toi mais pour un petit tout petit jour entre des bras c’est déjà fait pour un poney tous les jours entre mes bras. Nous fêtons ce soir les dix ans du barreau avec vous avec et moi je suis toujours là pour rester jouer au encore pour un flirt avec vous La la, la la la la la la la la, la, la, la, la, la, la, la, la la la la.

02:18:35:00 – 02:18:46:16

Abbas, barbe à papa, barbe à papa, barbe papa, Barbara, la la la la la la la la la la la la la la la la la la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la