CHÂTONS PRODLE CLUB

Interview Chouchou: David Guetta à Ibiza

Lors de mon voyage de presse AXE à Ibiza, je croise David qui veux bien se livrer au jeu de l’interview Chouchou. Sans langue de bois, il nous dit tout. Merci David !


LA TRANSCRIPTION AUTOMATIQUE BY TRANSCRIPTIVE:

Il y a une grosse différence entre. Quelles sont mes valeurs? Est ce que je représente pour les gens? Tu parles puisque la perception des gens n’est pas forcément la même chose que la réalité.

A partir de ce que tu voudras, alors c’est tout ce que tu sais.

Moi, je suis jeune. Justement, je ne cherche pas du tout à représenter quoi que ce soit. Moi, j’essaie de vivre comme j’aime vivre, de faire les choses qui me font plaisir. M’éclater dans ce que je fais, d’être sincère dans tout ce que je fais, dans tout ce que je dis et pouvoir me regarder tous les matins dans le miroir sans rougir de mes actes et d’essayer d’être heureux dans ce que je fais, sans quel manque le faire aux dépens d’autres gens, à l’inverse, un peu partout.

Mais comme ça, un peu partout que là, j’ai la chance de commencer à marcher un peu dans plein de pays par rapport à la musique, ce qui est assez typique de la France. On est assez connu dans le monde pour ça. C’est belle côté. Il y a deux choses. D’une part, que même pas beaucoup de succès en France pour ça, c’est assez connu. Et puis, d’autre part, que France, c’est super difficile que les gens acceptent que tu puisses faire plusieurs choses. Et si c’est le cas, par exemple, pour les gens qui veulent être un acteur et chanteur, c’est très mal vécu en France parce que Denis et moi, par exemple, que j’ai fait promoteur de boîtes de nuit pendant des années, même si j’ai commencé comme Biget.

Aujourd’hui, je passe à un disque et depuis que ça marche, tout ça, apparemment, ça énerve un peu les gens.

Ça énerve. Et donc, c’est pour ça que ce que je disais à la perception, la différence entre la perception et puisque je fais avec moi, par exemple, de la musique. Parce que la musique, c’est ma vie et je vois même pas comment on peut mettre en doute puisque je fais ça depuis l’âge de 14 ans. Donc, voilà qu’il se trouve que je trouve que le disque a marché. Mais au moment où c’est sorti, par exemple, personne n’a daigné en parler dans la presse. On a galéré comme des ports pour le faire rentrer.

Non, mais aujourd’hui, tout le monde dit oui, mais c’est tellement facile de faire des trucs comme ça. Donc, c’est pour ça qu’il y a toujours un décalage entre moi et la perception des gens. Parce qu’à partir du moment où tu as du succès, les gens s’imaginent plein de trucs qui se racontent des histoires, des romances, des trucs que tu vois, c’est louche. Le succès, c’est super louche et en plus, dans des secteurs différents, c’est plus possible.

Tu voulais changer cette affaire chouchou pour un regard.

Jour, j’étais un peu lent dans ma réponse, mais ça commence un jour.

Tu voyages du recul. On peut dire que le monde Spanair bezard. Paris, c’est quoi dans ce monde international?

Objectivement. Franchement, Paris, c’est vraiment bien quoi? Moi, je vois un peu en tournant un peu partout, mais déjà contre un.

Parce qu’évidemment aussi, c’est très parisien de dire qu’on se fait chier, car rien ne sert pas les intérêts de l’appareil, cette bataille là.

Et en réalité, je trouve que comparé aux autres, il y a vachement de resto, vachement le club, vachement de bar, il y a plein de trucs à faire et sinon, musicalement, pour revenir un peu.

Ce qui m’intéresse, le niveau est finalement beaucoup plus élevé en qualité que dans les autres villes. Parce que chaque fois que je vais jouer dans d’autres villes, je vois que dans les clubs, ça joue finalement vachement plus commercial à Paris et qu’il y a des scènes assez diverses qui sont représentées à Paris et je trouve plutôt bien représentés. Donc, c’est vrai qu’on a toujours tendance à se plaindre de ça, mais on est pas si mal servi que ça quand je joue. Est ce qu’on peut dire quel votre problème, c’est cette Parisien qui reste à Paris? Flashée.

Je ne sais pas ou je ne sais pas ce que c’est, le point G, c’est même pas un problème. Moi, je suis un peu dans la mentalité française, d’une part de se plaindre et surtout de pas être fier de soi même ou des Français. On est toujours un peu à dire ouais, c’est mieux. Contrairement aux Anglais, par exemple, que tu vois les Anglais bissap les mecs. L’Angleterre va dans les soirées anglaises. On soutient, modifiaient alors que nous bar-ilan toujours un PDG étranger et son meilleur DJ français.

Alors là, tu sais que c’est pas mal ce qui se passe, que c’est quasiment la transition qui est faite avec cette question et la polémique Cochetel. Parfois, les gens se moquent de toi. Pourquoi? Je ne savais pas que les gens se moquaient de moi. Ça, Weng, avec des blagues.

C’est ce que je te disais. L’heure, c’est que je pense que ça fait un. A partir du moment où tu commences à être un peu public quelque part. Ben bizarrement, tout t’appartient un peu quelque part aux gens, quoi. Et puis. Et puis, je crois qu’il y a aussi un truc assez typique qui va dire de la branchitude quand on parle de ça, ce que tu veux, moi, aujourd’hui, quand tu parles de gens qui peuvent actuellement avoir des réflexions sur moi.

Là, on parle d’un tout petit milieu de 50 personnes à Paris qui ont l’impression d’être le centre du monde, mais qui généralement font des soirées qui ne marchent pas.

Des 10 qui ne marchent pas. Les journaux qui vendent pas et qui mettent en couv des gens qui sont souvent pleins de talent.

Mais c’est assez rare que ces gens soutiennent des artistes qui ont un succès très populaire. Alors pourquoi je pense que partir du moment où on veut être branché? La définition du branché, c’est qu’il n’aime pas la même chose que les autres. Sinon, le brancher n’existe pas parce que le Branger ne se définit pas généralement par lui même, mais pas ne pas être comme les autres.

Donc, forcément, à partir du moment où je vois A400 Messenger et que je suis sur NRJ, le mec qui m’aimait peut être au moment où j’ai sorti stérilement Love indice d’électro il y a deux ans, et les mêmes d’Ijevsk qui ont passé ça à ce moment là, je leur ai donné un White Jardi. Ils n’ont pas passé le besoin de l’aide. Migault, qui passe dans toutes les boites de province, c’est normal.

Ca va donc je.

Je pense que c’est lié à ça parce que je ne vois pas vraiment d’autre. Je ne vois pas vraiment d’autre explication. Maintenant, ce qui est vrai, ce que je trouve un peu dommage si on compare, si on compare à l’Angleterre, par exemple, où il y a un vrai, il y a un vrai climbing, y a un vrai. Une vraie culture de cette musique, c’est que si tu veux, par exemple, il y a des journaux en Angleterre qui parlent de la culture club, de la musique, et il y a des rubriques différentes pour telle partie de cette musique ou telle partie de cette musique, c’est à dire qu’il y a des rubriques On va qui sont plus Spay, rubriques et rubriques qui sont plus grand public dans cette culture. Et ça veut dire qu’en fait, c’est les journaux qui parlent de quelque chose qui existe. Et ce que je trouve dommage, c’est qu’en France, ça n’existe pas parce que les journaux qui parlent de la musique électronique en France ne parlent en fait d’un petite partie de cette musique qui est super intéressante, mais qui ne concerne que très, très peu de gens. Et c’est dommage qu’il n’y ait pas un magazine sur sur cette musique qui puisse vendre à 50.000 exemplaires à 100.000 exemplaires, comme cela existe en Angleterre, et que les jeunes super abordés, on dépasse le cadre du chouchou.

Moi, je joue bien, je suis une belle gueule, un sourire qui fait des disques par millions. Une femme Vitel présente, un peu blasé.

Aucun blasé de quoi? Mais pas du tout. Je suis super enthousiaste et enthousiaste. C’est pour ça que je fais justement plein de trucs différents parce que j’ai jamais envie d’être blasé. Donc, si je fais des soirées, de la musique et tout ça, c’est toujours pour me remettre en question, puis faire des trucs qui m’excite et le faire toujours avec le coeur. Et pas juste parce que c’est dans mon habitude. Voilà, c’est comme ça que je me déplace, parce que c’est juste vrai.

Dernière question chouchou, mon pote. Maintenant, on fait le before sur une péniche. Est ce que tu viendrais pour jouer avec ta conso avec de la bière?

Ben écoute, tu sais ce que c’est, ce que je vais faire dimanche prochain pour la fermeture. C’est ce que j’ai fait opiner parce que je trouve ça mortel. Ibiza. Si un sorcier anhistorique, je tombe immortel, je joue même pas pour eux parce que je ne bois pas, mais pas.

C’est fini. Fait chauffer France 3. Tu peux regarder des vidéos obligatoires où la caméra. OK, on n’y va pas beaucoup, pas trop sur la taille. OK, donc maintenant c’est bon, est juste à ces trois là, je. C’est bien, mais ça reste comme ça La Presse, parce que je ne bouge pas. David d’Escamps en quelques mots, tu peux nous expliquer, nous décrire ton parcours.

Quelques, ça va être difficile, mais on va essayer de faire très court. Ben, j’ai commencé à étudier très tôt et puis je faisais les jours de remplacements. Les DJ résidents puisqu’à l’époque, il indiquait qu’il faisait 5, 6 jours par semaine dans les boites. Forcément, il fallait qu’il se repose un soir. Puis je me suis rendu compte que les gens me suivaient dans les différentes boites ou mixait. Donc, un jour, j’ai dit pourquoi pas organiser ma propre soirée pour pouvoir mettre la musique que j’aime. Puis je me suis rendu compte que ma propre marchait bien. Donc, un jour, j’ai essayé de reprendre un club de Folies Pigalle et j’en ai fait. Une taxe qui n’était pas le cas avant. Kabaret Fuissé a une boîte cartonnée. Puis il y avait le patron du Boyes qui venait souvent. Il m’a proposé d’ouvrir le Queen, donc j’ai ouvert le Queen. J’ai été directeur pendant deux ans, puis après, je me suis associé avec ma femme ici présents.

Et comme elle a de grands talents de relations publiques, on a fait le Bataclan et puis le Palace et les Bains et on a mélangé, on va dire nos qualités artistiques et de RP.

Et voilà. Et puis, un jour, je suis un peu revenu à mes premières amours de musique puisque j’avais dû mettre un peu le studio de côté pendant quelque temps.

Et j’ai fait ça un peu comme un, comme un hobby pour m’éclater. Et puis voilà. Et puis ça a donné l’album, ça a bien marché. Donc, ce rêve qui est devenu réalité, ça consiste en quoi?

Le métier de.

Il y a plusieurs façons d’aborder le métier de DJ à la façon classique, c’est à dire les DJ résidents de clubs comme il y en a plein.

Ça consiste à faire danser les gens et à faire que le club soit plein et que les gens s’amusent à essayer de les éduquer le plus possible comme on peut. Après, il y a des DJ qui essayent de se démarquer, d’apporter leurs sons et d’avoir une vraie personnalité. Et ça, c’est assez difficile, mais ça permet d’avoir une vraie carrière. Ce sont les DJ qui font un soir là, un soir, un soir là et moi, c’est un peu ce que j’ai fait au début. Et puis après, dans le prolongement de ce métier qui peut éventuellement ce n’est pas le cas de tous les DJ, mais on peut éventuellement produire de la musique et à ce moment là, on a un peu deux carrières, mais qui s’ensuivrait de plus en plus liées l’une à l’autre. Celle de DJ et celle de producteurs. Et à ce moment là, quand on commence à faire des disques, du coup, on est beaucoup plus en plus, parce que les gens entendent votre musique à la radio, dans les clubs, vue de découvrir votre univers musical. Et c’est comme ça qu’on se fait un nom un peu sur la scène internationale.

Je continue de poser des questions très sensibles au micro.

Quand tu bouges, tu entends des passes, tu sais quand j’entends, mais pas ce qu’il entend. Et qu’est ce que tu veux? Tu veux? J’enlève les passes, non? Ou tu mets où elle est peut être. Cela dérange pas. J’adore. Génial, alors j’entends j’ai entendu plusieurs DJ pouvaient gagner des centaines de milliers de francs en quelques heures de musique de centaines de milliers de francs.

Non, non, non, pas pour des réveillons. J’ai entendu parler d’un million de francs par an.

Il y a beaucoup de légendes, c’est exagéré.

C’est vrai qu’il y a des cachets qui sont très importants aujourd’hui, mais ce n’est pas d’abord dans ces proportions là. Et je suppose que la question, c’est comment ça s’explique? Comment ça s’explique? Ça s’explique que maintenant, un DJ en tête d’affiche dans une soirée, ça génère du chiffre d’affaires pour le club. Donc, c’est plus juste que le club le paye parce qu’il passe de la bonne musique comme le paye. Parce que s’il n’y a pas de DJ, il va faire. Par exemple, je dis n’importe quoi à mes 5000 francs de chiffre d’affaires. S’il y a un DJ fait 300.000 francs de chiffre d’affaires, c’est normal que j’aie une petite part du chiffre d’affaires qu’il va générer grâce à son nom. Donc, en fait, c’est lié à ça et là, c’est qu’aujourd’hui, les jeunes vont voir. Ils vont écouter Indigènes comme peut être la génération précédente. Aller à un concert, ça a toujours fonctionné comme ça. On n’était pas. On n’était pas choqué qu’un artiste pour chanter soit soit payé très cher.

Pourquoi?

Pourquoi Johnny, quand il est sur scène, peut être, qui prend un cachet beaucoup plus important que n’importe quel budget. Ce n’est pas juste parce qu’il chante bien. C’est parce que grâce à Johnny, la salle va faire un certain nombre d’entrées indigestes. C’est la même chose si une boîte booké. S’il est sûr de faire 3mn tickets, c’est normal que Callback gagne. Pas juste sa vie à payer 1000 francs de l’heure parce que c’est un bon.

Beaucoup de gens disent oui, mais qui a indiqué que la drogue voyage et jolies filles seraient en France?

Oui, mais bon, ça, des clichés, il y en a toujours. Je crois que le métier de DJ d’abord, les gens qui font ce métier, c’est forcément des gens qui sont super passionnés avant tout par la musique, parce que c’est super dur d’y arriver dans ce métier. Donc, les gens dont on parle, qui gagnent beaucoup d’argent, etc. Ça représente un pour mille. Dénigrait il y a plein de DJ quand vachement de talents et qui galèrent. Et pour y arriver, il faut s’accrocher pendant des années et travailler sans gagner d’argent, sans avoir aucune reconnaissance jusqu’à ce qu’on arrive à s’imposer. Donc, je ne pense pas qu’il y ait des DJ qui fasse ça pour fabriquer des jolies filles. Je sais pas quoi. Et puis maintenant, les histoires de drogue sur la nuit, c’est n’importe quoi.

Parce que moi, par exemple, c’est un peu l’exemple. Le contre exemple, je crois absolument pas de drogue. Il y a plein d’autres gens qui font ce métier, qui ne prennent pas de drogues. C’est comme de dire que dans le show business, tout le monde prendra à cause des journalistes. C’est n’importe quoi, ces idées préconçues. Peut être qu’il y en a qui le font.

Voilà, comme disait qu’il fallait s’accrocher pour devenir un DJ célèbre. C’est quoi les autres conseils dont les gens que je regarde et je ne peux pas donner de conseils à qui que ce soit? Je suis pas docteur en DJ, mais il y a des écoles maintenant pour lui indiquer un pseudonyme quelque part.

Ouais, c’est un peu saugrenue. Moi, je suppose que dans les écoles, ils peuvent apprendre une petite partie technique. Quoi? Ils peuvent apprendre à enchainer deux disques, mais ça, c’est un centième du métier de DJ. Donc, on ne peut pas donner de conseils. Je crois que tout ce qui est artistique, je crois qu’il faut faire ce qu’on aime et être sincère dans ce qu’on fait.

Ça, au moins, quoi qu’il arrive, on ne peut pas avoir de regrets. Quoi? C’est quoi une journée type dans ta vie? Ça dépend si on prend aujourd’hui. J’ai mixé hier à Zurich et puis à 6 heures. Je suis rentré à l’hôtel, j’ai dormi une heure. Comme il fallait que je sois à Ibiza, j’ai dû prendre l’avion très tôt pour repasser par Paris et. J’ai repris un autre avion pour être ce soir à Ibiza et j’ai fait des interviews et j’ai mixé tout à l’heure.

Et après, je vais enfin aller me coucher. Mais heureusement, à Ibiza, le Red Bull est commercialisé.

Des bouquets. Jusqu’à quand?

En fait, ce n’est pas tout à faire en ces termes là, j’ai beaucoup.

C’est vrai que j’ai beaucoup de demandes de booking. J’ai fait une tournée en France. Là, j’ai arrêté de faire des dates en France. Jusqu’à ce qu’à l’été prochain. Et puis lachuer chaque semaine une date dans un pays étranger puisque aujourd’hui, l’idée, c’est de faire marcher marché disque à l’étranger, si bien qu’il a marché en France. Tant pis, ça commence plutôt très bien dans le monde et donc je vais mixer à chaque fois dans les clubs. Et là, c’est marrant parce que j’arrive pas avec un nom et c’est super. Donc là, faut vraiment se battre pour conquérir le public et c’est bien ainsi. Ça me rappelle mes 18 ans. C’est quoi tes projets de vie? Ecoute, pour le moment, je n’ai pas. J’essaye de profiter du moment présent. Pour être honnête, je trouve que j’ai déjà énormément de chance d’avoir rencontré le succès que je rencontre dans la musique. Et voilà, j’essaye d’en profiter. J’ai régissaient fissa que ça se passe bien à l’étranger. Et puis, je pense pas trop à l’avenir. Leuchtenberg.

Ainsi, on va se faire une idee. Ça s’appelle ça, ça va être plus un escalier de secours, ça s’appelle Paris Culture. Merci monsieur le ministre. Je regarde la caméra, c’est quand tu dis ce que tu veux. Stabilisa une chose pareille. Tu va faire un. Facile quand tu salissez David Guetta, c’est pareil culture.

Avec une image d’Epinal.

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Xavier Faltot

Xavier Faltot: Media Mutant, brille par ses images expérimentales, mêlant art, technologie, cinéma et poésie. Dès ses débuts avec l’artiste Shu Lea Cheang, il sait capturer et danser avec le réel. Ses œuvres, à la fois provocantes et captivantes, reflètent une compréhension profonde de la globale culture actuelle. Samouraï virtuel multimedia et pionnier français dans l'utilisation des outils offerts par le web, il attend depuis toujours l'arrivée des intelligence artificielles. Aujourd’hui à l’aise avec les machines qui créent en vrai, il joue et fabrique des mondes animés à la carte ou des univers virtuels inconnus. ////// Xavier Faltot: Media Mutant, shines through his experimental images, mixing art, technology, cinema and poetry. From his early work with artist Shu Lea Cheang, he has captured and danced with reality. His works, both provocative and captivating, reflect a deep understanding of today's global culture. A multimedia digital samurai and French pioneer in the use of web tools, he has always awaited the arrival of artificial intelligence. Now at ease with the machines that create the real thing, he plays with and creates bespoke animated worlds or unfamiliar virtual universes.
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